Mot clef : "assurance véhicule"
06/01/2011
La facture pourrait être salée pour le conducteur cette année. Les hausses conjuguées de l'essence, des assurances, des péages et de l'entretien risquent de peser sur le budget annuel de l'automobiliste.La facture pourrait être salée pour le conducteur cette année. Les hausses conjuguées de l'essence, des assurances, des péages et de l'entretien risquent de peser sur le budget annuel de l'automobiliste. Gueule de bois pour les automobilistes français. Leur voiture va encore leur coûter plus cher cette année. Après l'euphorie de la prime à la casse et des bonus écologiques, les temps s'annoncent difficiles pour les constructeurs français mais aussi pour les conducteurs. Cinq postes de dépenses vont sensiblement augmenter. 1 Fin de la prime à la casseSi la prime à la casse a fait exploser les ventes de voitures durant les derniers mois de l'année 2010, le réveil risque d'être difficile. Sa disparition conjuguée à l'affaiblissement du bonus écologique va conduire à une augmentation du prix des véhicules de 10 à 15 % à l'achat. Les constructeurs automobiles pourraient néanmoins réagir et proposer des politiques commerciales avantageuses même si aujourd'hui rien n'est certain. 2 Hausse des assurancesPour s'assurer, l'automobiliste va devoir sortir quelques billets de plus de son porte-monnaie. Les prix pourraient augmenter de 8 % en 2011 même si tout dépend bien évidemment de la société choisie. Et cela a le don d'agacer les conducteurs. Le comparateur d'assurances "Assurland" a montré dans un récent sondage que 51 % des Français jugeaient cette hausse injustifiée. (Sondage effectué auprès de 2 243 internautes entre le 15 et le 20 décembre 2010) 3 Un plein plus coûteuxLe carburant risque lui aussi d'augmenter en 2011, d'environ 5 %. Cela est dû à l'accroissement du prix du baril proche actuellement de 95 dollars. Pour l'association 40 millions d'automobilistes, l'État pourrait soutenir les conducteurs en "jouant sur la fiscalité qui représente plus de 60 % sur les carburants". L'association suggère ainsi la suppression de la TVA sur la TIPP qui entraînerait une diminution du prix à la pompe de 12 centimes d'euros sur le sans-plomb et de 8 centimes sur le gasoil. 4 Un entretien plus cherVotre facture au garage risque elle aussi d'augmenter d'environ 5%. Les professionnels répercutent les hausses de charges, de loyers et le coût de leurs outils électroniques de plus en plus sophistiqués. L'automobiliste paie la facture de l'évolution technologique des voitures. 5 Des péages plus onéreuxEt comme tout cela ne suffit pas, les péages autoroutiers vont eux aussi augmenter au 1 er février, jusqu'à 4 % sur certains secteurs. Les autoroutes et le Tunnel du mont Blanc ont par exemple annoncé une hausse de 0,76% pour les véhicules légers.
Lien : http://www.assurland.com/presse/revue-de-presse-assurance/votre-voiture-va-vous-co-ter-encore-plus-cher-en-2011.html
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05/01/2011
e budget automobile des Français va grimper de 4 à 8% en 2011, mais les bons plans existent pour faire des économies. Posséder une voiture va vous coûter plus cher en 2010, mais les bons plans existent.Le budget automobile des Français va grimper de 4 à 8% en 2011, mais les bons plans existent pour faire des économies. Posséder une voiture va vous coûter plus cher en 2010, mais les bons plans existent.Le budget moyen des automobilistes français va augmenter de 4 à 6% en 2011, comme vous le révélait mercredi Europe 1, en raison de l'augmentation du prix des assurances, de l'essence, mais aussi de la fin de la prime à la casse. Europe1.fr vous liste les différents moyens de limiter la facture.Les conseils de baseGénéralement enseignées en école de conduite, de nombreuses astuces existent pour limiter sa consommation d'essence, qui représente la plus grosse part de la facture annuelle pour un automobiliste.Démarrer doucement, bien gonfler ses pneus et limiter sa vitesse sont les bases. Rouler 10 km/h moins vite sur autoroute permet ainsi d'économiser 10% de votre carburant. Utiliser la climatisation fait aussi grimper votre consommation de carburant de 3 à 5 %, tout comme l'usage d'une galerie ou d'un porte-vélo.Entretenir son véhiculeLa règle de base pour ne pas transformer son véhicule en gouffre financier reste de bien entretenir sa voiture. Lorsque vous détectez la moindre anomalie, n'hésitez pas à vous renseigner ou vous rendre chez un garagiste."Plus l'automobiliste entretient sa voiture, mieux ce sera", explique Luc Teston, du garage 84 Teston, dans le Vaucluse, avant d'ajouter : "J'ai déjà vu des voitures qui avaient fait une seule vidange en 85.000km. Il ne faut pas s'étonner d'avoir ensuite des problèmes".Les comparateurs de prixUne fois ces règles de base rappelées, vous pouvez partir à la chasse aux économies et le meilleur moyen reste de comparer les tarifs. Plusieurs sites peuvent vous aider dans cette démarche. Assurland permet de comparer les tarifs d'assurance, afin de trouver l'offre la plus adaptée à votre véhicule.Des sites spécialisés existent également pour comparer le prix des carburants dans votre région. Carbeo, Zagaz ou encore le site du gouvernement peuvent être utiles.Plus original, le site DrivePad vous propose de suivre l'entretien de votre véhicule. L'internaute peut créer une fiche personnalisée pour son véhicule, puis être alerté des révisions et réparations nécessaires, tout en recevant des estimations de prix et des offres promotionnelles. C'est le meilleur moyen pour bien entretenir sa voiture et éviter ainsi des pannes sérieuses, synonymes de grosse facture.Les plans BD'autres moyens existent pour réparer sa voiture à bon prix. Les casses automobiles commencent depuis peu à proposer des réparations pour les soucis mécaniques les plus simples. Les pièces à changer sont directement prélevées sur des voitures accidentées, et donc moins chères. Autre astuce, apportez votre véhicule dans une école de mécanique, les élèves répareront votre véhicule pour un tarif-horaire quatre fois moins élevé qu'un professionnel.Autre astuce, candidater pour devenir un "client mystère". Plusieurs réseaux, dont Renault, sélectionne chaque année plusieurs clients-testeurs et leur offre une réparation gratuite dans leur réseau. Le client doit en échange rester discret et remplir ensuite une évaluation de la qualité du service dans le garage.Réparer soi-même ou troquerRéparer soi-même son véhicule est évidemment la meilleure manière de faire des économies. Encore faut-il avoir des notions de mécanique et l'outillage nécessaire, mais certains garages louent leurs locaux et leurs outils.Si vous ne vous y connaissez pas, d'autres alternatives existent, dont le troc. Les sites Gchangetout ou SimpleTroc sont des plates-formes assez fréquentées pour y trouver son bonheur. Un internaute y propose par exemple de créer gratuitement un site web en échange d'une réparation de sa voiture. Vous pouvez aussi échanger des heures de jardinage, de cuisine...
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25/12/2010
Il faut assurer les risques pris par le père Noël !Pour remplir sa mission, le 24 décembre, le père Noël prend des risques. Or le courtier Aon a évalué sa prime d'assurance à environ 30M d'euros... Ce dernier a eu beau toujours remplir sa mission sans faillir, un simple échec et les compagnies d'assurance s'en souviendraient longtemps !Alors voilà , être le Père Noël, n'est pas de tout repos. Il doit se déplacer dans le monde entier pour livrer les cadeaux. Sa couverture devrait donc inclure une assurance aéronautique qui couvrirait par exemple les chutes de cadeaux et les dommages sur son "véhicule".Il faudrait aussi assurer sa légendaire barbe ! Le père Noël n'est rien sans sa barbe donc couverture oblige contre un éventuel accident lié à cette partie de son corps... De plus, le courtier a aussi pensé à une protection des données collectées avec toutes les informations qu'il reçoit des enfants du monde entier !Six Millions d'euros de moins qu'en 2008Le contrat d'assurance inclurait aussi une assurance transport pour ses marchandises en cas de piraterie, une couverture pour les rennes qui remorquent le traineau et une responsabilité civile. Cette dernière couvrant le père Noël pour un éventuel endommagementdes immeubles sur lesquels il se pose. Aon lui proposerait aussi de couvrir les défauts de livraison de ses fournisseurs sans oublier la couverture la plus importante : celle contre le vol !Une couverture chiffrée donc à 30 millions d'euros, à savoir 6 millions d'euros de moins qu'il y a deux ans. Une somme qui reste très excessive surtout quand on pense que les assureurs en question profitent eux aussi largement des services rendus par le gentil Père Noël...Comparez les offres de 54 assureurs et trouvez des nouveaux devis qui vous ferons faire des économies !
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16/12/2010
En 2011, les contrats d'assurance multirisque habitation augmenteront leurs tarifs entre 3,5% et 8% et entre 2,5% et 4,5% pour les contrats automobiles, selon les professionnels. Stanislas Di Vittorio, porte-parole d'Assurland.comEn 2011, les contrats d'assurance multirisque habitation augmenteront leurs tarifs entre 3,5% et 8% et entre 2,5% et 4,5% pour les contrats automobiles, selon les professionnels. Si ces hausses font beaucoup parler ces deux derniers jours, la hausse des assurances santé est passée totalement inaperçue. Pourtant, les tarifs devraient progresser de 5% en moyenne, selon les prévisions de Stanislas Di Vittorio, porte-parole du comparateur d'assurances sur Internet, Assurland.com, confiées à Relaxnews.Relaxnews : La tempête Xynthia et les inondations dans le Var, survenues cette année, sont les deux principales raisons qu'avancent les assureurs pour expliquer la hausse des tarifs en 2011. Comment s'opère le mécanisme ?Stanislas Di Vittorio : La tempête Xynthia et les inondations dans le Var sont des événements climatiques qui ont coûté chacun un milliard et demi d'euros aux assureurs. Il faut savoir, qu'en moyenne, l'assurance habitation rapporte une collecte d'un milliard de primes aux professionnels. Quand l'année est dans un bon cycle je dirais, ces derniers disposent d'une marge satisfaisante, si aucune catastrophe naturelle intervient. Par contre, prenons l'année 2009. La tempête Klaus a fait des ravages dans le Sud-Ouest de la France. Cette année-là , le système a été déficitaire car, quand les assurés payaient 100%, les assureurs, eux, devaient payer 111%, en comptant les remboursements et les frais de gestion du système. Ils ont clairement perdu de l'argent. En 2010, pour que les assureurs gagnent de l'argent, il est nécessaire que les assurés payent un peu plus de 100%.R. : l'assurance habitation n'est pas la seule concernée par cette hausse de tarifs. Il y a également l'automobile. Pourquoi ?S D.V : Entre 2004 et 2009, les tarifs des assurances auto ont baissé de 15% pour plusieurs raisons. D'abord parce que davantage de radars ont été installés et que les contrôles policiers ont été renforcés. Conséquence : moins d'accidents, et donc moins de morts. Le coût est finalement moindre pour les assureurs qui avaient la possibilité de revoir à la baisse leurs tarifs d'assurance auto. Désormais, c'est une tendance tarifaire à la hausse qui opère. En effet, si le nombre d'accidents est en baisse, le coût est en hausse. Les véhicules sont plus sophistiqués et impliquent des réparations plus coûteuses. Autre raison : les assurés survivent beaucoup mieux aux accidents car un véritable effort sur l'arrivée rapide des secours a été réalisé. Du coup, les consommateurs sont plus souvent grièvement blessés plutôt que décédés. Une personne tétraplégique coûte excessivement cher, bien plus cher qu'une personne décédée.R. : Finalement, les tarifs des assurances habitation et auto sont-ils appelés à augmenter continuellement ? Se dirige-t-on vers une nouvelle hausse en 2012 ?S D.V : Si l'année 2010 a été une bonne année en termes d'accidents, il est possible d'envisager un impact sur les prix des assurances auto, à la baisse ou à la stabilité, dans un délai de six mois à un an. Cela signifie qu'il faudrait une baisse du nombre de blessés ou de morts de 10%. C'est ce qui s'est passé en 2004. Rappelons que le nombre de tués sur les routes est passé de 10.000 à 4.000 en l'espace de dix ans. Pour l'habitation, il est plus difficile de répondre à la question. Toutefois, il n'est pas impossible que les tarifs augmentent de nouveau en 2012 pour "combler le déficit" engendré par les années 2009 et 2010.R. : L'annonce de la hausse des tarifs des assurances en 2011 n'a concerné que l'habitation et l'auto. N'y-aura-t-il aucun impact sur les contrats santé ?S.D.V : Le coût de la santé devient de plus en plus important en raison d'une population vieillissante et des progrès de la médecine. A ce contexte il faut ajouter le déficit de la sécurité sociale. Régulièrement, un train de mesures d'économies est mis en place par le gouvernement pour permettre moins de remboursements. Des mesures incitatives ont été également mises en oeuvre pour que les Français consomment moins de médicaments. Résultat : celui qui paye la facture, c'est soit le consommateur, soit l'assureur santé. Les professionnels doivent donc répercuter cette hausse sur leur plaquette tarifaire. Il faut également ajouter que le gouvernement a décidé de taxer les contrats d'assurance santé à hauteur de 3,5%. Certains assureurs répercuteront immédiatement cette hausse et d'autres échelonneront celle-ci sur plusieurs années.R. : Finalement, de quel ordre les tarifs des assurances santé augmenteront en 2011 ?S.D.V : Il faut compter sur une hausse moyenne de 5%.R. : Faut-il s'attendre à une tendance à la hausse dans les prochaines années ?S.D.V : Oui, tant que la population continuera de vieillir et que la médecine poursuivra ses progrès. C'est mécanique.R : Christine Lagarde, ministre de l'Economie, a appelé les assurés à résilier leur contrat deux mois avant leur échéance pour faire jouer la concurrence ? Que pensez-vous de ce conseil ? Y-a-t-il des astuces pour contrer ces diverses hausses annoncées ?S.D.V : C'est une bonne réaction. Il faut faire jouer la concurrence en n'hésitant pas à présenter à son assurance d'autres offres concurrentes susceptibles de vous intéresser. Pour cela, il faut comparer au préalable. Posez-vous les bonnes questions quant à vos besoins en assurance. Sachez que vous devez résilier une assurance deux mois avant la date du terme du contrat. Avec la loi Chatel, les assureurs sont dans l'obligation de prévenir leurs assurés du renouvellement du contrat deux mois à l'avance. S'ils ne le font pas, vous disposez de quinze jours pour changer de professionnel. Il faut penser à profiter de ce filon.
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15/12/2010
Immatriculation obligatoire pour tous les cyclomoteurs début JanvierSi les cyclomoteurs (50 cm3 et moins) achetés neufs devaient être immatriculés depuis du 1er juillet 2004, ça sera dorénavant le cas pour tous les cyclomoteurs au 1er janvier 2011 et ce sans exception sous peine de sanctions. Dans le cas contraire, les compagnies d'assurance risquent de ne pas les couvrir.Cette mesure du ministère de l'Intérieur vise à contrer le fort taux de vol pour ce genre de véhicule car il est difficile de retrouver un scooter en cas de vol si celui-ci n'est pas identifiable. Toutefois, à quelques jours de son entrée en vigueur, encore peu de gens ont immatriculé leur cyclomoteur afin d'être conforme avec la loi. Actuellement, on compterait moins de 15.000 véhicules aux normes (scooters ou mobylettes). Les demandes de cartes grises, gratuites et attribuées à vie au 50 cm3, risquent donc de s'accélérer jusqu'au 31 décembre auprès des préfectures. Être en règle avec les compagnies d'assurance motoIl est d'autant plus important de bien immatriculer son scooter rapidement car les compagnies d'assurance risquent de refuser de couvrir un véhicule non immatriculé ou appliqueront des tarifs excessivement élevés sur les contrats. Si le propriétaire du scooter est mineur, il peut demander aux parents ou le représentant légal de signer le formulaire de demande d'immatriculation.Comparez les garanties et les tarifs des assurances moto et choisissez l'offre qui vous convient le mieux !
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13/12/2010
Un partenariat avec Groupama pour l'assurance auto et l'assurance habitationLa Banque Postale propose désormais une assurance auto et habitation. Les gens pourront s'inscrire en ligne ou par téléphone. Cette nouvelle mesure prendra effet à partir de mai 2011. Pour ce faire, la banque postale s'est associée avec Groupama.Les particuliers peuvent souscrire un contrat soit par téléphone soit par internet sur le site de la Banque Postale. Le déploiement de l'offre dans les bureaux de poste devrait avoir lieu entre mai et octobre 2011.Détails de l'offre d'assurance de la Banque PostalePour l'assurance auto, trois formules sont proposées :Tiers, Tiers + Dommages et Tous risques. Ces dernières seront agrémentées de 5 options comme la protection corporelle du conducteur élevée à 1M d'euros ou la prolongation de l'indemnisation du véhicule sur valeur à neuf pour 5 ans en cas de destruction. Une formule qui permettra aux conducteurs parcourant moins de 5.000 km par an de bénéficier d'une réduction.L'assurance habitation, elle, inclus le vol, le dégât des eaux, l'incendie et le bris de glace. Des prestations d'assistance seront également proposées ainsi qu'une formule tous risques propriétaires qui étend les garanties à certains cas.Avec Assurland.com, comparez les garanties et les tarifs des compagnies d'assurance auto et d'assurance habitation !Tweet
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09/11/2010
Assurer les accessoires de votre deux rouesIl est essentiel d'assurer son deux-roues pour rouler en toute sécurité et se protéger de tous dommages pouvant survenir. Mais il est également important de couvrir les différents accessoires liés à votre deux-roues si vous voulez être indemnisé en cas de vol ou s'ils sont endommagés. Lorsqu'on parle d'accessoires pour les motos, les scooters ou les quads, cela peut aller des pièces de rechange aux éléments ajoutés sur le véhicule après son achat neuf. Assurer ces différentes pièces n'est pas obligatoire, mais les contrats proposent en général en option des garanties spécifiques afin de les protéger; de même qu'il est possible de couvrir l'ensemble de ses équipements de conduite (gants, blouson, combinaison).Selon la FFSA (Fédération Française des sociétés d'Assurance), on peut trouver chez les assureurs une garantie des accessoires hors série (sacoche, top-case, un pare-brise.) en cas de vol total du véhicule ou d'un dommage, ou une garantie du casque. Il existe aussi une garantie contre la détérioration des équipements de protection du motard à la suite d'un accident couvert par une garantie dommages.Les garanties que vous pouvez trouverChez AMV, il faut d'abord souscrire une garantie dommage pour pouvoir bénéficier de la « Garantie vol/ incendie ». Cette garantie permet de couvrir les accessoires montés hors série à concurrence de 3.000 euros, ou la « Garantie dommages collision » qui assure les accessoires hors série et de l'équipement vestimentaire moto à concurrence de 3.000 euros. La couverture du casque se fait à concurrence de 250 euros.La Mutuelle des Motards propose deux formules adaptées : une garanties « Accessoires » qui prend en charge top-case, valises, ou encore carénages rajoutés. L'indemnisation peut aller de 1.600 à 5.000 euros suivant les formules choisies, avec une franchise de 10%. Ensuite, l'assureur propose une garantie « Équipement Conducteur optimal » qui couvre l'ensemble des équipement de sécurité (casque, blouson, bottes, gants...). Si ces derniers sont endommagés à la suite d'un accident, l'indemnisation que vous recevrez peut aller jusqu'à 2.000 euros.Il est impératif de déclarer ses accessoires à son assureur afin d'être couvert, les factures peuvent servir de justificatifs. Attention aux pièces non-homologuées, la plupart des compagnies ne prennent pas le risque de les protéger. Il faut également être vigilant face aux contrats qui incluent automatiquement des garanties accessoires pour des machines qui n'ont que des pièces d'origine.Vous recherchez une assurance moto au meilleur prix avec les meilleures conditions... Comparez les meilleurs assurance moto avec Assurland
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12/10/2010
La voiture électrique arrive, on a beaucoup parlé de ses performances, de son impact écologique, des problèmes de charge de sa batterie. Mais on a peu parlé encore de son assurance, un sujet pourtant essentiel pour l'utilisateur.La voiture électrique arrive, on a beaucoup parlé de ses performances, de son impact écologique, des problèmes de charge de sa batterie. Mais on a peu parlé encore de son assurance, un sujet pourtant essentiel pour l'utilisateur. L'automobile amorce une migration technologique de grande ampleur vers les véhicules propres et notamment du moteur à combustion vers le véhicule électrique. Problèmes d'environnement et raréfaction du pétrole obligent.On a beaucoup parlé de l'impact de cette révolution pour l'industrie automobile, et les infrastructures de production et de distribution d'électricité ; beaucoup moins de ses implications pour les assureurs.Rappelons tout d'abord les rôles joués par l'assureur dans le domaine automobile. Ils sont multiples : tarification des risques, assistance, prévention. Tarification : l'assureur met un prix face à un risque, afin que chaque conducteur paie une prime d'assurance proportionnelle au risque qu'il représente. Ce métier, qu'on appelle dans le jargon technique l'actuariat, consiste à modéliser la probabilité de chaque conducteur d'avoir un accident, responsable ou non, mais aussi d'évaluer le coût de réparation des véhicules. Certaines compagnies d'assurance disposent ainsi de centres techniques où elles évaluent le coût et le temps de réparation de chaque véhicule impliqué dans différents types d'accidents.Assistance : le métier de l'assureur consiste à porter assistance aux clients victimes d'un accident ou d'une panne. En organisant la réparation du véhicule d'une part ; mais également en leur apportant les services tels que rapatriement, hébergement, remorquage etc... dont ils peuvent avoir besoin.Prévention : en identifiant les facteurs de risque, qu'ils tiennent à des comportements humains où à l'ingénierie des véhicules, les assureurs encouragent conducteurs et constructeurs à modifier leurs pratiques. Ils ont ainsi joué un rôle essentiel dans la prise en compte de la sécurité en amont dans la conception des véhicules.Comment ces divers métiers seront-ils donc impactés par la transition vers le véhicule électrique ?Tarifs déjà favorables pour les hybridesIl est important de rappeler ici que les assureurs se sont mobilisés très tôt en faveur des véhicules non polluants. La MAAF, la MACIF, la MAIF ou encore le Crédit Agricole appliquent des tarifs préférentiels aux véhicules peu polluants : par le biais d'un rabais spécial de 10 à 30% pour la MACIF pour les véhicules propres et sûrs ; par le biais d'une réduction spéciale de 100 Euros « Pur Bonus Auto » pour la MAAF, et d'un bon « éco-énergie » pour la MAIF.Plus généralement, une étude menée par Assurland.com a montré que les assureurs tarifaient les véhicules hybrides à un prix inférieur à un véhicule équivalent à propulsion classique. Par exemple, la Toyota AURIS hybride coûte 262 Euros à assurer en tous risques contre 280 Euros pour le modèle diesel, alors même que le modèle hybride coûte plus cher et que, à modèles équivalents, il existe une corrélation forte entre prime d'assurance et valeur à neuf du véhicule. La tarification des véhicules entièrement électriques n'est pas encore connue. Mais il y a fort à parier que la politique de tarifs favorables en faveur des hybrides sera poursuivie, voire renforcée pour les véhicules électriques. Reste à savoir si cette tarification favorable sera validée par les statistiques. Dit autrement, les conducteurs de véhicules électriques auront-ils moins d'accidents moins coûteux que les conducteurs de voitures classiques ? La composante la plus onéreuse des véhicules électriques est la batterie, souvent localisée sous le véhicule. Sera-t-elle ou non fréquemment endommagée lors d'accidents ? Il n'y a pas encore de données fiables à ce sujet. En panne d'électricité au bord de la routeEt qui seront les premiers acheteurs de véhicules électriques ? Des personnes soucieuses de l'environnement et conduisant leurs véhicules avec modération, ou des passionnés d'automobile utilisant pleinement la capacité des véhicules électriques à accélérer rapidement ? De la réponse à ces questions dépend l'évolution future des primes d'assurance pour les véhicules électriques.Enfin, les assureurs auront un rôle particulier à jouer dans le domaine de l'assistance. Comme toute technologie radicalement nouvelle, les voitures électriques rencontreront sans doute quelques problèmes de jeunesse. Leur autonomie encore limitée et les temps de recharge encore long (de l'ordre de trois heures) pourraient conduire un nombre important de conducteurs à se retrouver en panne d'électricité au bord de la route. Pour répondre à ce besoin, la MACIF vient de créer une option « assistance électrique 0 Km » incluant un dépannage en cas de panne d'énergie électrique, même à proximité de chez soi. Il y a fort à parier que ce genre d'initiatives va se multiplier dans les années à venir.Innovation radicale, le véhicule électrique l'est également pour les assureurs. C'est au vu de l'évolution des besoins des assurés et de leurs comportements que les assureurs adapteront leurs produits et services. En ce qui concerne les véhicules électriques, le monde de l'assurance apprendra en marchant.
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08/10/2010
L'allemagne pert une compagnie d'assuranceL'assureur Britannique, Admiral et détenteur du comparateur d'assurance LeLynx.fr qui était présent depuis trois ans sur le territoire allemand va bientôt le quitter. La compagnie d'assurance Admiral serait, d'après la presse allemande, resté sur une voie de garage avec 31 300 véhicules assurés. Le repli d'Admiral est dû à la forte concurrence qui existe en Allemagne sur le marché de l'assurance. Présence d'Admiral en EuropeAdmiral concerve 7% du marché en Grand Bretagne, on le retrouve également en Italie, en Espagne et depuis peu en France. Mais en Allemagne l'assureur a accumulé plus de 5 millions de livres sterling (soit environ 5,7 millions d'euros) de déficit pour un volume de prime de 14 millions. Le réassureur Munich-Re est touché de plein fouet par la perte de cet assureur car Munich-Re c'était investi à hauteur de 65% des risques.
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05/08/2010
Après cinq années de baisse, trois années de hausse. Selon le quotidien Les Echos (édition du jeudi 5 août), les assureurs d'automobile prévoient une augmentation de leurs tarifs entre 3 et 5% par an au cours des trois prochaines années, et même de 8 à 9% sur la période 2011-2013. La hausse devrait cependant varier d'un assureur et d'un assuré à l'autre.Après cinq années de baisse, trois années de hausse. Selon le quotidien Les Echos (édition du jeudi 5 août), les assureurs d'automobile prévoient une augmentation de leurs tarifs entre 3 et 5% par an au cours des trois prochaines années, et même de 8 à 9% sur la période 2011-2013. La hausse devrait cependant varier d'un assureur et d'un assuré à l'autre.Selon le quotidien économique, l'inversement de tendance a déjà eu lieu. Le comparateur d'assurance Assurland.com a en effet enregistré une hausse de son indice des prix en assurance auto des particuliers (Ipap), de l'ordre de 4% en avril et de 1,2% en juillet. Depuis 2004, les tarifs de l'assurance auto en France étaient sur une tendance à la baisse ou stagnaient par moment. Pour la période 2011-2013, les compagnies d'assurance viseraient une hausse comprise entre 3 et 5% par an. La progression globale pourrait s'élever à près de 10% sur l'ensemble de cette période. Toutefois, les effets sur la facture pourraient varier "sensiblement d'un assureur et d'un assuré à l'autre", souligne le journal.Pour rappel, la prime moyenne pour un véhicule particulier à quatre roues s'élève actuellement à 450 euros hors taxes. Les Echos précisent que cette envolée des prix n'est pas liée à une augmentation du nombre d'accidents, les chiffres de la sécurité routière sur les six premiers mois de l'année étant meilleurs que ceux de 2009.Cette augmentation des tarifs s'explique en fait par trois éléments, selon Les Echos. Tout d'abord, les catastrophes climatiques (tempête Klaus, grêle, etc.) ont entraîné une hausse de la demande des réparations. Par ailleurs, la baisse du prix de l'essence a incité les conducteurs à rouler plus qu'avant (le trafic serait en hausse de 4 à 5% en 2009). Enfin, l'inflation du coût moyen des réparations (+3% à +4% par an) s'est poursuivie ces dernières années. Le journal ajoute que les assureurs ont également moins de marge de manoeuvre : "Dans l'environnement actuel actuel de taux d'intérêt bas, leurs résultats financiers sont réduits. Et ils disposent de moins de réserves sur les années antérieures, susceptibles d'être reprises pour lisser les résultats. Dans ce contexte, on serait donc reparti pour au moins trois ans de hausse des tarifs".
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04/08/2010
L'assurance intempérie une alternative à l'assurance kilométriqueVous pouvez obtenir une période d'interruption de votre contrat d'assurance moto si vous choisissez la garantie intempérie. Cette garantie peut être utilisée comme alternative à l'assurance moto au kilomètre. Le tarif de votre assurance est alors étudié en fonction de vos périodes de circulation (normalement les jours de beau temps) et vous conservez les garanties indispensables comme responsabilité civile hors circulation ou les garanties vol ou incendies de votre deux-roues. Les motards n'utilisant pas leur moto toute l'année et ne souhaitant pas souscrire à une assurance moto au kilomètre alors la garantie intempérie leur permet d'avoir une période de non-utilisation. Cette option donne aux conducteurs de moto ou de scooter la possibilité de faire des économies sur leur contrat d'assurance moto.Cette clause permet aux usagers de circuler pendant la période qu'il désire, en général hors période hivernale, pendant la non-circulation du véhicule les autres garanties sont maintenues. Les périodes durant lesquelles les motards peuvent s'assurer sont variables, elles vont de 3 à 6 mois et doivent être consécutives. Ces garanties ne marchentpas pour les 50 cm3 et les motards ne doivent pas avoir de malus. Cette garantie pourrait être remplacée par une assurance « pay as you drive. ». Cependant cette garantie semble plus adaptée pour les assurances auto. La garantie intempérie utile pour les "petits rouleurs"Spécialement dédiées à de « petits rouleurs », les garanties intempéries sont intéressantes lorsque le 2 roues n'est pas utilisé comme véhicule principal. « Moto Pass Intempéries à principalement pour cible les motards qui ont un usage « accessoire » de leur machine, c'est à dire pour ceux qui ne s'en servent que pour le loisir, pendant les weekends. Il s'adresse également à ceux qui ont déjà une voiture et qui utilisent leur 2 roues comme d'un véhicule d'appoint » affirme le cadre de Solly Azar Assurances. « Grâce à cette garantie, vous pouvez faire jusqu'à 25% d'économie sur votre prime d'assurance, et cette dernière est valable partout en France. Nous notons enfin que les quads sont en forte progression dans le nombre de souscription de ces contrats » conclut-il.
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15/01/2010
Les primes répercutent la hausse du coût des accidents et des réparationsLes primes répercutent la hausse du coût des accidents et des réparationsDepuis quatre mois, les primes d'assurance auto ont augmenté légèrement, et cette hausse devrait s'accentuer en 2010, prévoit le courtier Assurland. Jusqu'à présent, seules la Maaf, la GMF et la Maif n'ont pas relevé leurs prix et le font savoir; les autres ont procédé à une augmentation ou devraient l'annoncer.En cause, deux facteurs principaux. D'une part, les coûts de réparation et les frais de santé augmentent. D'autre part, les statistiques des accidents de la route, en retrait depuis 2004, semblent marquer une pause, alors que jusqu'à présent leur baisse continue avait surcompensé la hausse des coûts. Par ailleurs, l'autre source de revenus des assureurs, qui placent les encours des primes, a souffert de l'effondrement des taux d'intérêt.Mais «cette hausse des tarifs devrait être limitée grâce à trois facteurs, rassure Stanislas Di Vittorio, le fondateur d'Assurland. Le renforcement des mesures de répression; les évolutions technologiques des véhicules, qui sécurisent la conduite; et la remontée prévisible du prix de l'essence.» Celle-ci incitera les conducteurs à rouler moins souvent, moins vite, et, du coup, il y aura moins d'accidents...Damien Pelé
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07/01/2010
Pour la première fois depuis 2003, le prix de l'assurance automobile est reparti à la hausse à la fin de l'année 2009. Depuis trois mois, l'IPAP* (Indice des Prix de l'Assurance automobile des Particuliers) enregistre une forte hausse, de 0,6 % à 0,7%, la première constatée depuis le début du cycle baissier amorcé en 2004. Assurland prédit une hausse des prix de l'assurance auto 2010 !Pour la première fois depuis 2003, le prix de l'assurance automobile est reparti à la hausse à la fin de l'année 2009. Depuis trois mois, l'IPAP* (Indice des Prix de l'Assurance automobile des Particuliers) enregistre une forte hausse, de 0,6 % à 0,7%, la première constatée depuis le début du cycle baissier amorcé en 2004. Cette hausse des prix s'explique par le ralentissement du nombre des accidents et par la hausse continue des coûts de réparation des véhicules et d'indemnisation des victimes.Depuis neuf années, Assurland, 1er comparateur d'assurances sur internet, mesure mensuellement avec précision les prix des produits d'assurances et produit l'indice IPAP. L'IPAP, l'indice des prix de l'assurance des particuliers est compilé chaque mois sur la base de plus de 3 millions de tarifs d'assurances automobiles. Assurland transmet également l'IPAP à l'INSEE pour le calcul de ses propres indices.Une hausse sans surprise !La hausse des tarifs des assurances auto s'explique par plusieurs facteurs :- le ralentissement de la baisse des accidents, avec 1.5% de tués en plus sur les routes en 2009 (11 mois) comparé à la même période de 2008- l'augmentation des coûts de la réparation automobile, des soins de santé et des indemnisations des victimes, qui augmentent d'environ 5% en rythme annuel- la baisse des revenus financiers des assureurs dûe aux taux d'intérêts très bas et plus généralement au mauvais rendement des produits financiers en 2009Tous ces facteurs se conjuguent pour faire déraper à la hausse les coûts des assureurs et les conduire à augmenter leurs prix d'environ 0,7% en moyenne sur les trois derniers mois pour l'assurance automobile.« L'assurance automobile est une industrie cyclique. Il est donc presque certain que ces augmentations marquent le début d'un cortège de hausses pour l'année 2010. » analyse Stanislas di Vittorio, fondateur d'Assurland.com. « D'ores et déjà , le nombre d'assureurs qui ont annoncé des hausses pour l'année prochaine dépasse ceux qui ont fait le choix de la stabilité des prix »Les conseils d'Assurland pour économiser 30 à 40% sur votre budget annuel d'assurance automobile :- vérifier si vous avez la couverture adaptée à vos besoins : tout risque versus au tiers, garantie du conducteur, assistance ou franchises, la même couverture ne convient pas à tous les conducteurs- vérifier le service dont vous avez besoin : une assurance par Internet peut vous faire économiser beaucoup d'argent si vous ne ressentez pas le besoin d'un service de proximité- Comparez ! Les différences de prix varient facilement d'un facteur 1 à 3 pour la même couverture entre les assureurs car ils évaluent les risques de façon très différente !Rédigé par LGS
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07/01/2010
Les prix de l'assurance automobile sont repartis à la hausse au dernier trimestre 2009 pour la première fois depuis 2003 (+ 0,7 % sur un an), et cette tendance devrait se poursuivre en 2010, selon Assurland, le comparateur d'assurances sur Internet.Les tarifs de l'assurance auto repartent au quart de tourLes prix de l'assurance automobile sont repartis à la hausse au dernier trimestre 2009 pour la première fois depuis 2003 (+ 0,7 % sur un an), et cette tendance devrait se poursuivre en 2010, selon Assurland, le comparateur d'assurances sur Internet. Son indice est compilé chaque mois sur la base de plus de trois millions de tarifs. La hausse des prix s'explique par la recrudescence des accidents, avec 1,4 % de tués en plus sur les onze premiers mois de 2009 par rapport à 2008. Est aussi en cause, d'après Assurland, la hausse des coûts de la réparation automobile, des soins de santé et de l'indemnisation des victimes, qui augmentent d'environ 5 % en rythme annuel. Enfin, « la baisse des revenus financiers des assureurs » pousserait ces derniers à faire grimper les tarifs de leurs assurés.Une nouvelle inflation est à prévoir en 2010, mais tout dépendra du profil du conducteur. « Il est certain que les mal aimés de l'assurance - les gros véhicules, les jeunes conducteurs et ceux qui ont eu des accidents - devraient connaître les hausses les plus fortes. Mais d'autres verront leur facture diminuer en 2010 », précisait hier Stanislas di Vittorio, fondateur d'Assurland, au site d'information économique e24.fr. Les augmentations seront aussi très différentes selon les assureurs, prévient le site, qui rappelle que la Maaf, la Maif et la GMF ont annoncé un gel de leurs tarifs l'an prochain. Angeline Benoit avec AFP
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06/01/2010
Selon le site Assurland, les augmentations devraient atteindre 2 à 3 % en moyenne, rompant avec cinq années de baisseSelon le site Assurland, les augmentations devraient atteindre 2 à 3 % en moyenne, rompant avec cinq années de baisseLes prix de l'assurance auto en France devraient augmenter cette année, marquant une rupture par rapport à la tendance baissière des cinq dernières années, selon les estimations d'Assurland. «Pour l'ensemble de 2010, nous estimons que la hausse des tarifs de l'assurance automobile devrait se situer entre 2 % et 3%», a déclaré à Reuters Stanislas di Vittorio, fondateur et porte-parole du comparateur d'assurance sur internet.Assurland, qui compile de façon mensuelle les tarifs d'assurance automobile de quelque 48 assureurs, estime que les prix ont déjà augmenté de 0,6% à 0,7% entre septembre et novembre 2009.Cette inversion de tendance s'explique par plusieurs facteurs. La baisse du nombre des accidents s'est interrompue, avec 1,5% de personnes tuées en plus sur les routes en France au cours des onze premiers mois de 2009 par rapport à la même période de 2008. L'augmentation des coûts des réparations, qui va de pair avec la sophistication croissante des véhicules, se poursuit.Enfin, l'inflation des soins de santé et des indemnisations des victimes, avec des différences d'appréciation parfois très importantes entre certains tribunaux, constitue toujours une épine dans le pied des compagnies d'assurance. Selon Assurland, la hausse des réparations automobiles et des indemnisations des victimes atteint ainsi environ 5% en rythme annuel.Les assureurs étant par ailleurs confrontés à la baisse de leurs revenus financiers dans un contexte de faibles taux d'intérêt, la tentation est grande de relever leurs tarifs pour préserver leurs revenus sur un marché dont le chiffre d'affaires stagne depuis plusieurs années. «D'ores et déjà , le nombre d'assureurs qui ont annoncé des hausses pour l'année prochaine dépasse ceux qui ont fait le choix de la stabilité des prix», ajoute Stanislas di Vittorio.Selon le dernier rapport disponible de la Fédération française des sociétés d'assurance (FFSA) pour l'exercice 2008, le marché de l'assurance automobile a représenté 17,9 milliards d'euros de cotisations cette année-là . Soit une croissance de 1% du chiffre d'affaires, qui arrivait après deux années de repli. «Cette évolution intervient dans un contexte marqué par un marché auto de plus en plus atone et saturé», relevait la FFSA.
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19/11/2009
Les cambriolage sont en hausseLes chiffres de la délinquance pour le mois d'octobre 2009 ont été dévoilés et les cambriolages des habitations sont toujours en hausse. Bonne nouvelle toutefois en auto, les vols sont en baisse.Les cambriolages sont toujours en hausse sur une année, même si le mois d'octobre 2009 enregistre une baisse par rapport à octobre 2008 avec 23 223 faits constatés contre 23 897 l'an dernier. La baisse entre les deux mois de référence est de 2,82%, pour les "cambriolages de locaux d'habitations principales", "cambriolages de résidences secondaires", "cambriolages de locaux industriels, commerciaux ou financiers" et les "cambriolages d'autres lieux" selon les dénominations de l'Office national de la délinquance (OND).Mais les résultats sur un an sont beaucoup moins bons. Les cambriolages sont en hausse avec 313 025 faits constatés sur 12 mois, en augmentation de 6,25%. Les cambriolages d'habitations principales affichent une hausse de 12,6% (+18 602 faits constatés) ce qui représente plus que la hausse sur un an de tous les types de cambriolages (+ 18 426).De même, les incendies volontaires sur biens privés sont en hausseLe reste des atteintes aux biens symboliques de l'assurance, les atteintes aux véhicules sont en baisse. Ainsi, en octobre 2009, les services de police et de gendarmerie ont constaté 10 678 vols d'automobiles contre 10 929 en octobre 2008 (-2,3%). Sur la même période, 6 861 deux roues ont été dérobés contre 7 380 en octobre 2008 (-7%). Cette baisse permet un équilibre sur un an des vols de deux roues (+0,1%). Sur un an, les vols liés aux véhicules (vols d'automobiles, vols à la roulotte, vols d'accessoires sur véhicules à moteur immatriculés, vols de véhicules motorisés à 2 roues, vols de véhicules de transport avec fret) poursuivent la baisse avec un recul de 1,4% des faits constatés.A noter que les vols à mains armés sont en forte progression avec 7 153 faits constatés sur douze mois, contre 5 753 (+24,3%) et que les incendies volontaires de biens privés ont augmenté de 7,6% ce mois-ci et de 9,7% sur un an.
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18/09/2009
Pour protéger son deux-roues contre le vol, il faut soucrire une assuranceEn France, un deux-roues est volé en moyenne toutes les 4 minutes! Pour se protéger, les conducteurs de deux roues ont tendance à souscrire une assurance moto ou une assurance scooter vol et à penser qu'il seront remboursés quoi qu'il arrive. Au contraire, pour pouvoir bénéficier des garanties, l'assuré doit scrupuleusement respecter les conditions stipulées dans le contrat.Les assureurs moto demandent aussi à leurs assurés de respecter des consignes de sécuritéLes assureurs moto ont de nombreuses exigences : ne jamais laisser la clé de contact sur ou dans votre véhicule, bloquer la direction et utiliser un antivol rigide en forme de U normé NF, garer votre scooter dans un endroit fréquenté ou un parking et l'attacher à un élément fixe (poteau), etc. En clair, il est nécessaire d'adopter des mesures de protection pour dissuader les voleurs, et faire la preuve de sa bonne foi, sinon la garantie ne joue pas. Et, si le conducteur d'un deux-roues est victime d'un vol ou d'une tentative de vol, il devra le prouver avec, par exemple, les restes d'un anti-vol forcé ou une direction endommagée.
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09/05/2009
Nous vous proposons une documentation sur comment calculer le coefficient bonus malus assurance auto ou coefficient réduction majoration avec les différents cas possibles.
Le calcul du bonus d’assurance auto est très simple si vous même ou un autre conducteur n’avez pas eu un accident responsable dans les 14 derniers mois avec le véhicule assuré. Pour le [...]
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25/01/2009
La période est opportune pour faire jouer la concurrence entre les automobiles. "Les prix sont à la baisse cette année. Il est possible d'économiser jusqu'à 100 ? en changeant de contrat", affirme Stanislas Di Vittorio du site assurland.com.C'est le moment de changer d'assurance autoLa période est opportune pour faire jouer la concurrence entre les automobiles. "Les prix sont à la baisse cette année. Il est possible d'économiser jusqu'à 100 ? en changeant de contrat", affirme Stanislas Di Vittorio du site assurland.com. En moyenne, les Français consacrent 500 ? par an à l'assurance, obligatoire, de leur véhicule. Pour faire baisser la facture, il faut surveiller sa boite aux lettres. Les assureurs doivent envoyer un avis obligatoire de reconduction du contrat annuel. comportant les nouveaux tarifs. Ces courriers arrivent début mars pour les polices à échéance annuelle au 1er avril. On peut alors résilier afin de choisir un assureur moins cher. Les compagnies se sont lancées dans d'intenses batailles de promotion pour capter de nouveaux assurés. La Maaf propose -15 % sur tout contrat signé avant le 31 mars. La GMF offre 10 % de réduction pour ses clients présentant un abonnement de transports en commun. Autre solution : négocier. "Nous sommes prêts à baisser nos prix au cas par cas pour garder notre clientèle", admet un courtier.Des accidents de la route moins fréquentsOutre le jeu de la concurrence, les prix ont tendance à baisser car les comportements changent. Les accidents de la route sont moins fréquents et les conducteurs roulent en moyenne moins vite et moins longtemps. Depuis deux ans, les assureurs répercutent peu ou prou la diminution des sinistres indemnisables dans les barèmes appliqués aux nouveaux clients.
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08/01/2009
Pour Stanislas di Vittorio, fondateur du comparateur en ligne Assurland.com, « l'année 2009 sera solide ». Entre l'obligation pour les assureurs d'enrichir leurs services en ligne pour se rapprocher du e-commerce et un marché de l'assurance « low cost » presque arrivé à saturation,...Pour Stanislas di Vittorio, fondateur du comparateur en ligne Assurland.com, « l'année 2009 sera solide ».Entre l'obligation pour les assureurs d'enrichir leurs services en ligne pour se rapprocher du e-commerce et un marché de l'assurance « low cost » presque arrivé à saturation, l'expert de l'e-assurance trouve que la présence d'assureurs institutionnels ouvre le marché au grand public. Un marché dans lequel Assurland tentera de conserver sa place de leader.News-Assurances : Comment voyez vous l'année 2009 pour l'e-assurance ?Stanislas Di Vittorio : 2009 sera une année solide. Le réflexe de l'internet est maintenant bien ancré chez nos concitoyens. Le web représente l'avenir et le secteur de l'assurance ne peut qu'en bénéficier. L'arrivée d'acteurs importants met les internautes plus à l'aise face à ce qu'ils trouvent sur internet. Ce n'est pas vraiment un gain de crédibilité, car internet avait déjà prouvé son sérieux auparavant, mais c'est un réflexe qui se développe. Quand quelqu'un se pose la question « où trouver l'assurance qui convient ? », il se tourne maintenant vers son ordinateur. Pour faire un parallèle, on peut comparer cette évolution à la vente de billets d'avion en ligne qui est devenue aussi logique pour beaucoup que le passage par une agence de voyage. Il existe un effet d'entraînement, les gens en parlent entre eux et créent le réflexe internet.Comment va évoluer le paysage de l'e-assurance ?Ce paysage se distingue en deux réseaux très particuliers. D'un côté les assurances « directes » ou « low costs » et de l'autre les distributeurs de produits existants.Pour les premiers, le marché semble déjà bien fourni. Un ou deux assureurs vont faire leur entrée sur ce secteur en 2009 et le marché sera proche de la saturation, tout le monde sera présent.Pour les seconds, c'est-à -dire les assureurs qui désirent commercialiser les produits existants via internet, la tendance sera à l'enrichissement progressifs de leurs services pour tendre vers le e-commerce. Actuellement, les sites des assureurs ne sont pas encore adaptés à la vente en ligne et sont trop éloignés des sites de e-commerce fréquentés habituellement par les internautes. Ils vont pouvoir profiter de leur marque et du poids qu'ils ont pour vendre directement en ligne.Dès lors, comment tirer son épingle du jeu pour un assureur ?Tout dépend du produit et de la proposition de valeur. Dans le cadre des assurances auto/assurance moto, assurance habitation et une partie de l'assurance santé, l'internaute est à la recherche d'un produit efficace, pas très cher et qui requiert au moins l'une des trois valeurs fondamentales : un prix bas, une présence « multicanal » de l'assureur ou un conseil physique. Si l'internaute est attiré par le prix bas, il trouvera son bonheur chez les assureurs « directs » qui auront rationnalisé efficacité et coûts. Il se peut que le client cherche à la fois un assureur présent sur internet et en agence, pour avoir une personne physique vers qui se retourner en cas de besoin. Enfin si l'internaute a besoin de conseils et d'accompagnement avant de souscrire, c'est aux marques d'orchestrer sur internet leurs expertises et leurs capacités.Le conseil justement, est encore une valeur importante dans l'assurance...Oui, certains produits seront beaucoup plus difficiles à vendre sur internet. Certaines assurances santé trop complexes ou faisant partie de cas très particuliers par exemple, mais surtout les assurances vie, épargne et prévoyance. Dans ce cas, j'imagine plus l'internaute se servir du web pour collecter une bonne information avant de pousser la porte d'une agence ou de prendre rendez vous avec un spécialiste qui le conseillera et le guidera avant la souscription.Et Assurland dans tout ça ?L'année 2008 a été excellente, avec une progression de 50% du nombre de visiteurs. Nous restons leader chez les comparateurs. Pour nous, la période de crise pourrait avoir un effet positif. En temps de crise, les consommateurs cherchent à faire des économies, et internet véhicule toujours cette idée d'économie : acheter sur internet c'est économiser. Quoi de plus logique, dès lors, de comparer les prix sur un site tel qu'Assurland...A quelles nouveautés doit-on s'attendre ?Entre 2007 et 2008, nous avons proposé plusieurs innovations comme la création d'un comparateur pour les professionnels qui s'adresse aux petites entreprises, un outil pour les assureurs avec lesquels nous travaillons qui peuvent obtenir ainsi des enseignements sur les démarches de leurs clients et un site, opinion-assurances.fr où la communauté des assurés peut débattre et parler de leur expérience avec les différents assureurs.Pour 2009, nous avons plusieurs initiatives que nous annoncerons en temps et en heure. Quoi qu'il en soit, pour rester leader, il faut mettre à disposition de l'internaute un excellent service, une offre large et un site sans bugs, qui fonctionne bien
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23/06/2008
Les assureurs low-cost sont en moyenne 20% à 30% moins chers que les compagnies classiques.Les assureurs low-cost sont en moyenne 20% à 30% moins chers que les compagnies classiques.Sur Internet, l'assuré choisit lui-même les services dont il a besoin. Les prestations sont cependant plus limitées que celles d'une assurance classique.Avec la chute du pouvoir d'achat, le terme low-cost est à l'honneur. Les compagnies d'assurance l'ont bien compris. «C'est un marché dans lequel les assureurs souhaitent s'immiscer et proposer des offres», souligne-t-on à la Fédération française des sociétés d'assurance. Leur cible : des jeunes urbains habitués à internet et à comparer les prix. Chez Direct Assurance, l'assurance coûte ainsi 256 euros par an et 362 euros chez Inéas pour un modèle de Peugeot 106 diesel, dont le conducteur a eu un sinistre en 2007. MAAF arrive loin derrière avec une offre à 431 euros, d'après le comparateur Assurland. Les mutualistes Macif (idMacif.fr) et Groupama (Amaguiz.com), arrivent aujourd'hui sur le marché. idMacif qui se targue d'avoir des prix 30% moins cher, propose par exemple une offre à 151.78 euros pour un modèle Renault Clio 2. Des prix moins chers rendus possibles par des offres allégées.Moins de services, donc moins cherMutant Assurances, filiale de l'assureur April, propose ainsi des assurances dont certains services sont optionnels. Pour une assurance auto, le client devra payer en plus les garanties «protection du conducteur» et «bris de glace». «C'est typiquement du faux low-cost, alors qu'aujourd'hui il y a un consensus pour inclure la protection du conducteur. On abaisse les prix au détriment de la qualité», perçoit-on chez Assurland. «Notre offre de produit est centrée sur l'essentiel, se défend Carole Bérard, directrice de la communication chez Mutant Assurances. Nous ne fournissons pas de garanties gadgets, mais celles les plus plébiscitées par les clients et les plus adaptées à la majeure partie des besoins.» Mais, là encore, pour tirer les tarifs vers le bas, le moindre écart se paie. Ainsi, tout changement de contrat, qui entraîne des frais de dossier, sera facturé aux clients.«On déshabille le produit»A la Macif, les offres sont packagés, trois formules seulement sont proposées : au tiers, «tiers +» et la formule tous risques. Si la compagnie se vante d'offrir la prestation Macif, les clients devront néanmoins montrer patte blanche. Pas question d'assurer des conducteurs responsables d'un accident ces dernières années, ni ceux qui ont un malus. D'ailleurs en comparant l'assurance dite «essentielle» au tiers de la Macif, et celle au tiers d'idMacif.fr, les services proposés ne sont pas les mêmes. Le bris de glace n'existe pas sur Internet alors qu'il est inclus sous sa forme classique. De même, les événements climatiques qui apparaissent dans la formule au tiers de la Macif, ne sont assurés que dans la formule «tiers + » de IDMacif.fr.Inéas assure de son côté apporter les mêmes services qu'une compagnie classique mais, pour bénéficier des prix les plus bas, il n'est pas non plus possible d'accéder à toutes les options. «Nous ne souhaitons pas nous diriger vers un système de "pack" tout compris. On a déshabillé le produit, explique Stéphane Favaretto. Par exemple, on considère que l'assistance 0 km ne sert à rien pour un véhicule neuf.». Une stratégie à double tranchant selon l'Observatoire de l'évolution des métiers de l'assurance. Dans son baromètre 2008, il rappelle aux compagnies que «gagner sur le montant des sinistres payés est (...) une stratégie extrêmement risquée en terme d'image du fait des insatisfactions que générerait une réparation trop limitée des dommages subis.» Pour choisir son assurance auto low-cost les clients devront alors «savoir ce qui fait partie du fondamental et du complémentaire», explique Guillaume Burel, senior manager en développement marketing au sein du cabinet de conseil Deloitte. En clair, de se demander s'il est utile que l'on rapatrie votre voiture en cas de crevaison à 500 mètres de chez vous ou si vous changez vous-même votre roue...
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29/11/2007
Fini, la guerre des tarifs, les compagnies rivalisent désormais de bonus exceptionnels accordés aux meilleurs conducteurs sur leurs cotisations. Comparatif des six principales offresFini, la guerre des tarifs, les compagnies rivalisent désormais de bonus exceptionnels accordés aux meilleurs conducteurs sur leurs cotisations. Comparatif des six principales offresAprès trois années consécutives de baisse, les compagnies d'assurances indiquent les unes après les autres une stabilisation des tarifs. Daniel Havis, le président du Gema, le Groupement des entreprises mutuelles d'assurances (40% du marché), a d'ailleurs annoncé la couleur en octobre : «La baisse est terminée, c'est sûr!» a-t-il prévenu.La Maif a ouvert le bal en annonçant des changements de cotisations compris entre «-1,5 et +4,5%». Or, depuis 2005, les tarifs du quatrième assureur automobile de France baissaient de 2 à 6% par an. Les raisons de cette volte-face ? Les mêmes que celles des autres assureurs, explique Stanislas Di Vittorio, le président d'Assurland, courtier en contrats auto : «Une explosion de coûts des sinistres, à la fois sur le plan des réparations automobiles et des coûts de chirurgie et de rééducation des blessés.»Comment, dans ces conditions, continuer à défendre ses parts de marché, voire à en gagner ? Les assureurs ont trouvé la solution cet été : plutôt que de se battre sur les tarifs, pourquoi ne pas retenir les bons clients, en leur offrant un super-bonus ? Normalement, un bon conducteur doit attendre treize ans pour atteindre le bonus maximal, qui diminuera de 50% sa cotisation. Impossible d'obtenir plus. Et, en cas d'accident responsable, sa cotisation augmentera de 25%, alors qu'elle ne baissera que de 5% par année sans accident ! La Maaf a donc lancé le bonus à vie, la Matmut, le bonus à 65%. Les autres s'y mettent peu à peu. Et ceux qui, comme AGF, Gan et Aviva, et la plupart des bancassureurs, n'ont pas emboîté le pas font aujourd'hui figure de perdants. Quels sont les avantages et les pièges de ces offres ? Notre enquête, assureur par assureur.Notre conducteur typePour comparer les offres, nous avons pris les tarifs pour un conducteur habitant Lyon et propriétaire d'une Peugeot 308 1,6 L.Le Bonus longue durée, d'AxaAvec ses 4 millions d'assurés automobile, le deuxième assureur du marché français a récemment lance, en réponse a l'offensive de la Maaf et de MMA, le Bonus longue durée. L'offre garantit aux assurés qui sont au bonus maximal (50%) depuis plus de trois ans de pouvoir conserver leur réduction de prime, même quand ils ont eu un second accident responsable dans l'année.Notre avis. L'offre d'Axa reprend les conditions du Bonus à vie de MMA-Maaf, sauf l'essentiel : la durée à vie.Le Bonus MatmutDepuis plusieurs années, la mutuelle (2,4 millions de véhicules assurés) accorde un «cadeau», le Bonus Matmut, à ses conducteurs ayant déjà un bonus de 50% sans aucun accident responsable. Ce bonus consiste tout simplement à laisser progresser le bonus-malus jusqu'à 65% en accordant chaque année trois points de plus de rabais !S'y ajoute un Bonus famille qui donne lapossibilité aux jeunes conducteurs de bénéficier du tarif lié au bonus de leurs parents.Notre avis. La Matmut milite depuis longtemps pour davantage de sécurité, et a opté pour un système plus vertueux que les nouvelles offres de ses concurrents, puisqu'il récompense surtout les conducteurs ayant le moins d'accidents.Le Bonus Plus, de GMFCela fait plus de vingt ans que la mutuelle offre un rabais supplémentaire a ses très bons conducteurs, même à ceux qui viennent de souscrire un nouveau contrat chez elle. Seule condition : déjà bénéficier d'un bonus de 50% et avoir son permis de conduire depuis au moins quinze ans.Le calcul est simple : 5% de réduction supplémentaire les trois premières années, puis 10% au bout de trois années supplémentaires sans accident responsable et 15% pour les suivantes. Et cela «à vie», puisque ces réductions de tarifs ne sont pas remises en cause en cas d'accident responsable.Notre avis. Un bon système. Le client ayant acquis 50% de bonus (les deux tiers des clients de la GMF) peut même bénéficier de ces réductions supplémentaires sur tout nouveau contrat d'assurance auto ou deux-roues souscrit à la GMF. Les tarifs de nos simulations incluent une garantie conducteur.Le Bonus double effet, de MMALa mutuelle, qui compte 1,78 million de véhicules assurés, a une offre légèrement différente de celle de son partenaire Maaf, puisqu'elle est en deux étapes. La première, c'est un calcul accéléré du bonus : les assurés parviennent au bonus maximal en huit ans au lieu des treize années habituelles. S'y ajoute un Bonus à vie, réservé aux «bonus 50%» depuis plus de trois ans qui peuvent aligner vingt-quatre mois sans accident responsable; avec les mêmes conditions que la Maaf en cas d'accident responsable. En réalité, le bonus-malus évoluera normalement, et donc diminuera si le conducteur est responsable d'un sinistre, mais cette variation sera sans conséquence sur le tarif : autrement dit, l'assureur fera «cadeau» de l'augmentation prévue.Notre avis. Une offre intéressante, même si MMA se réserve le droit d'exclure du dispositif les conducteurs non civiques (délit de fuite, défaut de paiement...).Le Bonus à vie, de la MaafLe cinquième assureur automobile français, avec ses quelque 3,2 millions de véhicules assurés, a lancé à la fin de l'été, en même temps que MMA, une opération marketing de grande ampleur sur le thème du Bonus à vie, qui a suscité une vague de demandes d'information de la part de ses sociétaires... et des clients de ses concurrents. La formule est alléchante : elle prévoit que les conducteurs qui bénéficient déjà du bonus maximal de 50% depuis au moins trois ans et qui n'ont pas eu d'accidentresponsable au cours des vingt-quatre derniers mois le conservent aussi longtemps qu'ils restent à la Maaf, et ce même s'ils venaient à être responsables de plus d'un accident.Notre avis. L'offre est intéressante, même si le cadeau n'est pas aussi généreux qu'il y paraît : le Code des assurances prévoit en effet déjà que celui qui est au bonus maximal depuis au moins trois ans ne perdra pas son bonus s'il a un accident responsable dans l'année. Comme la probabilité d'en avoir un, pour ces bons conducteurs, est déjà faible, celle d'en avoir deux ou plus est, elle, très, très faible.Le Bonus MacifLe premier assureur auto de France, avec 13% du marché et 5,5 millions de véhicules assurés, n'a pas proposé de «super-bonus» depuis l'offensive MMA-Maaf, car il a déjà , depuis longtemps, mis en place une offre à destination des bons conducteurs. Il accorde à ses assurés ayant le bonus maximal (50%) une réduction supplémentaire équivalant à 5 points de bonus pour chaque année de sinistre, avec un plafond de 65%. Plus de 2,5 millions de personnes en profitent déjà .Notre avis. Un effort de longue date. Qui s'accompagne du maintien de ces avantages pour les assurés ayant le bonus maximal depuis trois ans, en cas de sinistre responsable.
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20/04/2006
Trois bonnes raisons de changer d'assurance auto par Agnès SeverinTrois bonnes raisons de changer d'assurance auto par Agnès Severin Banques, mutuelles et compagnies multiplient les offres. Dans cette profusion, conducteurs débutants ou plus aguerris peuvent dénicher la perle rare. Les prix, le service et l'assistance font la différence. Challenges.fr | 20.04.2006 Depuis janvier, la loi Chatel permet de changer plus facilement d'assureur. Le législateur oblige désormais les compagnies à prévenir leurs assurés à temps pour qu'ils puissent résilier leur contrat dans les délais légaux : au plus tard un mois avant l'échéance de renouvellement. Cette date butoir correspond à la date anniversaire de la souscription, ou peut être fixée au 1er janvier ou au 1er avril. En pratique, il est donc encore temps pour certains de faire des infidélités à leur assureur : en effet, si l'assureur envoie son avis moins de quinze jours avant la date fatidique, un délai supplémentaire de vingt jours permet au client de résilier son contrat. Il faut en profiter pour aller voir ce qui se passe du côté de la concurrence : sur un marché aussi compétitif, il y a toujours des occasions à saisir, pour dénicher un meilleur tarif ou être mieux couvert, à prime égale. Le prix, argument primordial C'est le premier motif de mécontentement des assurés, leur fidélité est en effet rarement récompensée. « L'assurance, ce n'est pas comme le bon vin, cela s'améliore rarement avec le temps, note Stanislas Di Vittorio, fondateur et administrateur du site comparateur d'assurances Assurland. Souvent les contrats ne sont pas chers au départ, et les primes grimpent avec les années. » Explication de ce paradoxe : les stratégies marketing des assureurs consistent encore souvent à mettre le paquet sur les prospects en leur proposant de nouveaux contrats toujours plus compétitifs en fonction de profils particuliers. Les anciens assurés ont donc intérêt à vérifier si l'herbe n'est pas plus verte ailleurs et s'ils veulent profiter des baisses les plus fortes du marché. Après des baisses de 1 à 10 % en 2005 (grâce à la réduction du nombre d'accidents), la tendance générale est au statu quo cette année, car les invalidités graves pèsent lourd dans les comptes des compagnies. Quelques acteurs font cependant figure d'exception : la Macif affiche encore une baisse de 2,5 %, la Maif et GMF réduisent toutes deux leurs primes de 4 %, le Crédit agricole va jusqu'à 6 % en formule haut de gamme, BNP Paribas, enfin, a baissé ses tarifs à cinq reprises depuis janvier 2005. En choisissant la concurrence, les assurés auront aussi plus de chances de trouver la compagnie qui soigne particulièrement leur profil ( voir tableau page ci-contre ). Car les tarifs sont de plus en plus segmentés en fonction du type de véhicule et de son millésime, ainsi que de l'âge, de l'expérience et du mode de conduite du chauffeur (le fameux bonus-malus). Les bons conducteurs ont tout intérêt à multiplier les demandes de devis. « La nouvelle politique de répression sur les routes a été particulièrement efficace auprès de cette catégorie de conducteurs : ce sont eux qui ont vu leur nombre d'accidents baisser le plus, précise encore Stanislas Di Vittorio. Ce sont donc eux qui bénéficient des réductions de primes les plus importantes. » C'est le cas à la Macif, au Crédit mutuel ou chez Pacifica (qui appartient au groupe Crédit agricole). Autre segment de marché qui profite des réductions de primes, notamment chez Axa, les jeunes conducteurs : ils assurent la relève dans les portefeuilles des compagnies. Mais par-delà le tarif, le changement d'enseigne peut permettre d'enrichir leur contrat. Car il ne s'agit pas uniquement de faire le choix du plus offrant : les garanties doivent elles aussi tenir la route. Les garanties et les assistances Les garanties des contrats sont relativement standardisées, mais attention d'avoir le produit qui correspond précisément à votre véhicule et à vos habitudes de conduite. Et c'est surtout l'assistance qui fait la différence. Schématiquement, les détenteurs de véhicules de plus de quatre ou cinq ans, tout comme les petits budgets, se contentent d'une formule de base, dite « au tiers ». Ils remplissent ainsi leur obligation légale d'assurance en responsabilité civile (RC) : s'ils provoquent un accident, cette garantie couvre les victimes. Les formules d'entrée de gamme récentes incluent de plus en plus souvent la garantie conducteur responsable, qui couvre l'invalidité de ce dernier. L'option bris de glace est également intéressante pour ces profils, la facture en cas de sinistre de ce type peut en effet se compter en centaines d'euros. Quant aux propriétaires de voitures plus récentes, ils ont besoin, en plus, d'être protégés contre le vol, ainsi que contre les incendies et les risques naturels (événements climatiques et catastrophes naturelles) : la formule tiers plus vol est parfaitement adaptée à leur cas ( voir tableau 2e profil ). En ajoutant la garantie dommages tous accident, ils passent en formule haut de gamme : la tous risques, plus coûteuse ( voir 1er et 3e profils ). Les contrats les plus complets offrent à ce type de profil une indemnisation en « valeur à neuf » : il s'agit de la valeur de rachat, qui est bien supérieure à la valeur « à dire d'expert ». Elle permet d'aller bien au-delà de l'argus. Cerise sur le gâteau, l'assistance permet de distinguer les offres qui facilitent le plus la vie des assurés en cas d'incidents. Exemples particulièrement intéressants : les avances de soins médicaux et le rapatriement de l'étranger, le remorquage « zéro kilomètre », ou encore un véhicule de remplacement prêté en cas de panne ou d'accident. Ces deux dernières garanties sont comprises dans l'offre de la Société générale, tout comme dans celle de BNP Paribas, qui ajoute en outre une valeur à neuf valable dix-huit mois. De son côté, Axa vient de lancer, sans supplément de tarif, un service dépose express en quinze minutes en cas d'accident. « La tendance est à enrichir les services pour faciliter la vie des assurés , rappelle Olivier Lamarque, directeur marketing et communication de Direct Assurance. A chacun d'évaluer ses besoins concernant ces garanties dites "de confort". » La qualité du service proposé On ne découvre malheureusement la qualité d'une assurance qu'en cas d'accident ou de panne. Quelques éléments permettent cependant de se faire une idée dès la souscription : les horaires de disponibilité, la taille du réseau, ainsi que les éventuels engagements sur les délais de règlement des sinistres. Et dans ce domaine, qualité n'est pas forcément synonyme de coup de bambou. Dans les comparaisons réalisées par le site Assurland ( voir tableau ), Direct Assurance est la plupart du temps le plus compétitif sans que le service soit pour autant négligé. « Direct Assurance nous a dépannés en dix minutes en rase campagne , témoigne un client. Tout s'est réglé par téléphone : ils se sont montrés très rassurants, c'est précieux en situation de stress ! » A chaque conducteur correspond son offre privilégiée Jeune conducteur:Type de véhicule : Voiture de ville : Peugeot 206 4 CV diesel, achetée en 2003 Profil : Célibataire de 32 ans, roulant à Lyon, 8 000 km par an, usage privé et domicile-travail. Bonus de 0,5 Formule tous risques : Responsabilité civile plafonnée à 100 millions d'euros.Garantie du conducteur responsable jusqu'à 80 000 euros.Assuré bris de glace + incendie, catastrophe naturelle, événements climatiques + vol + dommages tous accidents. Franchise de l'ordre de 150 euros (vol), 80 (bris).Mutuelles MMA : 327 euros/anMAAF Assurances : 376,84Macif : 477,35Banques Société générale : 376,24 euros/anBanques populaires : 367,03BNP Paribas : 397Compagnies Axa : 306 euros/anAzur-GMF : 472,13Groupama Gan : 388Assureurs en direct Eurofil (groupe Aviva) : 388 euros/anCouple:Type de véhicule : Monospace : Renault Scénic Air 6 CV diesel, achetée en 2001 Profil :Couple de 36 et 41 ans, roulant à Paris, 8 000 à 20 000 km par an, usage privé et domicile-travail. Bonus de 0,5 Formule « tiers + vol » : Responsabilité civile plafonnée à 100 millions d'euros.Garantie du conducteur responsable jusqu'à 80 000 euros.Mutuelles MMA : 355 MAAF Assurances : 330Macif : 271,74Banques Société générale : 249,82Banques populaires : 288,74BNP Paribas : 316Compagnies Axa : 286Azur-GMF : 275,06 Groupama Gan : 419 Assureurs en direct Direct Assurance (groupe Axa) : 265Couple aisé Type de véhicule : Haut de gamme : Citroën C5, 8 CV diesel, achetée en 2005 Profil : Couple de 47 et 52 ans, roulantà La Roche-sur-Yon, 8 000 km par an, usage privé et domicile-travail. Bonus de 0,5 Formule tous risques : Responsabilité civile plafonnée à 100 millions d'euros.Garantie du conducteur responsable jusqu'à 80 000 euros.Assuré bris de glace + incendie, catastrophe naturelle, événements climatiques + vol + dommages tous accidents. Franchise de l'ordre de 150 euros (vol), 80 (bris). Mutuelles MMA : 316 MAAF Assurances : 320,32 Macif : 476,9 Banques Société générale : 408,85 Banques populaires : 488,93 BNP Paribas : 403 Compagnies Axa : 266 Azur-GMF : 398,07 Groupama Gan : 446 Assureurs en direct Nexx (groupe Maaf) : 377 Depuis janvier, la loi Chatel permet de changer plus facilement d'assureur. Le législateur oblige désormais les compagnies à prévenir leurs assurés à temps pour qu'ils puissent résilier leur contrat dans les délais légaux : au plus tard un mois avant l'échéance de renouvellement. Cette date butoir correspond à la date anniversaire de la souscription, ou peut être fixée au 1er janvier ou au 1er avril. En pratique, il est donc encore temps pour certains de faire des infidélités à leur assureur : en effet, si l'assureur envoie son avis moins de quinze jours avant la date fatidique, un délai supplémentaire de vingt jours permet au client de résilier son contrat. Il faut en profiter pour aller voir ce qui se passe du côté de la concurrence : sur un marché aussi compétitif, il y a toujours des occasions à saisir, pour dénicher un meilleur tarif ou être mieux couvert, à prime égale. Le prix, argument primordial C'est le premier motif de mécontentement des assurés, leur fidélité est en effet rarement récompensée. « L'assurance, ce n'est pas comme le bon vin, cela s'améliore rarement avec le temps, note Stanislas Di Vittorio, fondateur et administrateur du site comparateur d'assurances Assurland. Souvent les contrats ne sont pas chers au départ, et les primes grimpent avec les années. » Explication de ce paradoxe : les stratégies marketing des assureurs consistent encore souvent à mettre le paquet sur les prospects en leur proposant de nouveaux contrats toujours plus compétitifs en fonction de profils particuliers. Les anciens assurés ont donc intérêt à vérifier si l'herbe n'est pas plus verte ailleurs et s'ils veulent profiter des baisses les plus fortes du marché. Après des baisses de 1 à 10 % en 2005 (grâce à la réduction du nombre d'accidents), la tendance générale est au statu quo cette année, car les invalidités graves pèsent lourd dans les comptes des compagnies. Quelques acteurs font cependant figure d'exception : la Macif affiche encore une baisse de 2,5 %, la Maif et GMF réduisent toutes deux leurs primes de 4 %, le Crédit agricole va jusqu'à 6 % en formule haut de gamme, BNP Paribas, enfin, a baissé ses tarifs à cinq reprises depuis janvier 2005. En choisissant la concurrence, les assurés auront aussi plus de chances de trouver la compagnie qui soigne particulièrement leur profil ( voir tableau page ci-contre ). Car les tarifs sont de plus en plus segmentés en fonction du type de véhicule et de son millésime, ainsi que de l'âge, de l'expérience et du mode de conduite du chauffeur (le fameux bonus-malus). Les bons conducteurs ont tout intérêt à multiplier les demandes de devis. « La nouvelle politique de répression sur les routes a été particulièrement efficace auprès de cette catégorie de conducteurs : ce sont eux qui ont vu leur nombre d'accidents baisser le plus, précise encore Stanislas Di Vittorio. Ce sont donc eux qui bénéficient des réductions de primes les plus importantes. » C'est le cas à la Macif, au Crédit mutuel ou chez Pacifica (qui appartient au groupe Crédit agricole). Autre segment de marché qui profite des réductions de primes, notamment chez Axa, les jeunes conducteurs : ils assurent la relève dans les portefeuilles des compagnies. Mais par-delà le tarif, le changement d'enseigne peut permettre d'enrichir leur contrat. Car il ne s'agit pas uniquement de faire le choix du plus offrant : les garanties doivent elles aussi tenir la route. Les garanties et les assistances Les garanties des contrats sont relativement standardisées, mais attention d'avoir le produit qui correspond précisément à votre véhicule et à vos habitudes de conduite. Et c'est surtout l'assistance qui fait la différence. Schématiquement, les détenteurs de véhicules de plus de quatre ou cinq ans, tout comme les petits budgets, se contentent d'une formule de base, dite « au tiers ». Ils remplissent ainsi leur obligation légale d'assurance en responsabilité civile (RC) : s'ils provoquent un accident, cette garantie couvre les victimes. Les formules d'entrée de gamme récentes incluent de plus en plus souvent la garantie conducteur responsable, qui couvre l'invalidité de ce dernier. L'option bris de glace est également intéressante pour ces profils, la facture en cas de sinistre de ce type peut en effet se compter en centaines d'euros. Quant aux propriétaires de voitures plus récentes, ils ont besoin, en plus, d'être protégés contre le vol, ainsi que contre les incendies et les risques naturels (événements climatiques et catastrophes naturelles) : la formule tiers plus vol est parfaitement adaptée à leur cas ( voir tableau 2e profil ). En ajoutant la garantie dommages tous accident, ils passent en formule haut de gamme : la tous risques, plus coûteuse ( voir 1er et 3e profils ). Les contrats les plus complets offrent à ce type de profil une indemnisation en « valeur à neuf » : il s'agit de la valeur de rachat, qui est bien supérieure à la valeur « à dire d'expert ». Elle permet d'aller bien au-delà de l'argus. Cerise sur le gâteau, l'assistance permet de distinguer les offres qui facilitent le plus la vie des assurés en cas d'incidents. Exemples particulièrement intéressants : les avances de soins médicaux et le rapatriement de l'étranger, le remorquage « zéro kilomètre », ou encore un véhicule de remplacement prêté en cas de panne ou d'accident. Ces deux dernières garanties sont comprises dans l'offre de la Société générale, tout comme dans celle de BNP Paribas, qui ajoute en outre une valeur à neuf valable dix-huit mois. De son côté, Axa vient de lancer, sans supplément de tarif, un service dépose express en quinze minutes en cas d'accident. « La tendance est à enrichir les services pour faciliter la vie des assurés , rappelle Olivier Lamarque, directeur marketing et communication de Direct Assurance. A chacun d'évaluer ses besoins concernant ces garanties dites "de confort". » La qualité du service proposé On ne découvre malheureusement la qualité d'une assurance qu'en cas d'accident ou de panne. Quelques éléments permettent cependant de se faire une idée dès la souscription : les horaires de disponibilité, la taille du réseau, ainsi que les éventuels engagements sur les délais de règlement des sinistres. Et dans ce domaine, qualité n'est pas forcément synonyme de coup de bambou. Dans les comparaisons réalisées par le site Assurland ( voir tableau ), Direct Assurance est la plupart du temps le plus compétitif sans que le service soit pour autant négligé. « Direct Assurance nous a dépannés en dix minutes en rase campagne , témoigne un client. Tout s'est réglé par téléphone : ils se sont montrés très rassurants, c'est précieux en situation de stress ! » A chaque conducteur correspond son offre privilégiée Jeune conducteur:Type de véhicule : Voiture de ville : Peugeot 206 4 CV diesel, achetée en 2003 Profil : Célibataire de 32 ans, roulant à Lyon, 8 000 km par an, usage privé et domicile-travail. Bonus de 0,5 Formule tous risques : Responsabilité civile plafonnée à 100 millions d'euros.Garantie du conducteur responsable jusqu'à 80 000 euros.Assuré bris de glace + incendie, catastrophe naturelle, événements climatiques + vol + dommages tous accidents. Franchise de l'ordre de 150 euros (vol), 80 (bris).Mutuelles MMA : 327 euros/anMAAF Assurances : 376,84Macif : 477,35Banques Société générale : 376,24 euros/anBanques populaires : 367,03BNP Paribas : 397Compagnies Axa : 306 euros/anAzur-GMF : 472,13Groupama Gan : 388Assureurs en direct Eurofil (groupe Aviva) : 388 euros/anCouple:Type de véhicule : Monospace : Renault Scénic Air 6 CV diesel, achetée en 2001 Profil :Couple de 36 et 41 ans, roulant à Paris, 8 000 à 20 000 km par an, usage privé et domicile-travail. Bonus de 0,5 Formule « tiers + vol » : Responsabilité civile plafonnée à 100 millions d'euros.Garantie du conducteur responsable jusqu'à 80 000 euros.Mutuelles MMA : 355 MAAF Assurances : 330Macif : 271,74Banques Société générale : 249,82Banques populaires : 288,74BNP Paribas : 316Compagnies Axa : 286Azur-GMF : 275,06 Groupama Gan : 419 Assureurs en direct Direct Assurance (groupe Axa) : 265Couple aisé Type de véhicule : Haut de gamme : Citroën C5, 8 CV diesel, achetée en 2005 Profil : Couple de 47 et 52 ans, roulantà La Roche-sur-Yon, 8 000 km par an, usage privé et domicile-travail. Bonus de 0,5 Formule tous risques : Responsabilité civile plafonnée à 100 millions d'euros.Garantie du conducteur responsable jusqu'à 80 000 euros.Assuré bris de glace + incendie, catastrophe naturelle, événements climatiques + vol + dommages tous accidents. Franchise de l'ordre de 150 euros (vol), 80 (bris). Mutuelles MMA : 316 MAAF Assurances : 320,32 Macif : 476,9 Banques Société générale : 408,85 Banques populaires : 488,93 BNP Paribas : 403 Compagnies Axa : 266 Azur-GMF : 398,07 Groupama Gan : 446 Assureurs en direct Nexx (groupe Maaf) : 377
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02/11/2005
Première chose à faire pour ne pas payer trop d'assurance auto: vérifier que vous ne payez pas de garanties inutiles (telle l'assurance tierce collision pour un véhicule qui n'est plus coté à l'Argus, ou la garantie trajets professionnels si vous avez arrêté de travailler).Première chose à faire pour ne pas payer trop d'assurance auto: vérifier que vous ne payez pas de garanties inutiles (telle l'assurance tierce collision pour un véhicule qui n'est plus coté à l'Argus, ou la garantie trajets professionnels si vous avez arrêté de travailler).Deuxième piste d'économie: adapter son contrat en fonction de son usage. Si vous réalisez que vous roulez moins que prévu, vous avez intérêt à souscrire un contrat à kilométrage réduit. Une situation courante pour les ménages ayant deux voitures, le deuxième véhicule roulant souvent beaucoup moins que le premier. L'économie peut alors atteindre 25% du prix! Certains auront intérêt également à souscrire une assurance couple, proposée par certains assureurs, laquelle fait bénéficier du tarif au meilleur profil des deux conducteurs.Renseignements sur www.assurland.com ou www.autoplanet.fr
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01/01/2005
Parmi tous ces sites, Assurland.com se distingue par des tarifs précis et rapides. La procédure à suivre est toujours la même : vous détaillez le véhicule à assurer, vous remplissez un questionnaire pour que l'assureur vous cerne mieux et les demandes sont envoyées par Internet à tous les partenaires du site. Dans certains cas, l'écart de tarifs atteint 70% entre 2 assureurs.Le net regorge d'outils pour obtenir des devis d'assurance auto et choisr ainsi le contrat le moins cher possible. Parmi tous ces sites, Assurland.com se distingue par des tarifs précis et rapides. La procédure à suivre est toujours la même : vous détaillez le véhicule à assurer, vous remplissez un questionnaire pour que l'assureur vous cerne mieux et les demandes sont envoyées par Internet à tous les partenaires du site. De cette manière, en moins de 48 heures, vous recevez par e-mail des propositions fermes, avec une ligne de téléphone pour souscrire immédiatement au contrat. Un bon moyen de mettre toutes les assurances en compétition afin de favoriser le jeu de la concurrence.
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28/01/2004
Journaliste : Trop chères les assurances automobiles ? Depuis la fin de l'année 2003, on sait que les assureurs ne vont pas diminuer les primes demandées à leurs clients. Vous me direz que ce n'est pas choquant en soi certes, mais vous n'êtes pas sans savoir que le nombre des accidents a considérablement baissé l'an dernier sur les routes françaises. Journaliste : Trop chères les assurances automobiles ? Depuis la fin de l'année 2003, on sait que les assureurs ne vont pas diminuer les primes demandées à leurs clients. Vous me direz que ce n'est pas choquant en soi certes, mais vous n'êtes pas sans savoir que le nombre des accidents a considérablement baissé l'an dernier sur les routes françaises. La Fédération Française des Sociétés d'Assurances explique de son côté que les prix devraient rester au moins stables en 2004. Alors pourquoi n'ont ils pas baissé ? C'est la question posée à Stanislas Divittorio, le Président et fondateur du site Internet Assurland.com qui compare les différents tarifs des assureurs auto.Stanislas Divittorio : Il y a moins d'accidents, il y a une baisse des vols qui est un petit peu plus faible, de l'ordre de 12 %. En contrepartie je dirais qu'il y a un certain nombre de facteurs, aussi, qui sont le coût plus important de rréparation des véhicules et le coût pour soigner, indemniser, les victimes d'accidents qui est en augmentation de l'ordre de 6 à 8 %. Actuellement il est vrai que le coût des accidents est en baisse et donc 2003, après deux années difficiles pour l'industrie de l'assurance, sera une bonne année. Ensuite on dit "les prix ne baissent pas", moi je dis "les prix ne baissent pas encore". Alors pourquoi est-ce que je dis ça ? C'est parce que lorsqu'on regarde une tendance historique du coût de l'assurance, on voit avec éventuellement quelques petits décalages, il suit de très très près l'évolution du coût des accidents. Donc il n'y a pas de raison qu'en 2004 ou en 2005 il en soit différemment de la tendance historique, les marges des assurances auto s'améliorent. C'est une industrie qui est extrêmement compétitive et donc forcément la compétition va rendre ces marges aux consommateurs. La seule question c'est : "qui tirera le premier coup des baisses et quand est ce que ça aura lieu ?"Journaliste : Stanislas Divittorio, Président et fondateur du site Internet Assurland.com
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19/12/2002
Parce que l'évaluation du risque est leur coeur de métier, les assureurs ont su résister aux sirènes de l'internet, dans un premier temps. Désormais bien intégré, le canal élctronique apporte une contribution non négligeable au développement de ce secteur : notoriété pour les uns, différenciation par le service pour les autres , compression des coûts et élargissement des parts de marché, quand il ne s'agit pas de modèles économiques tout à fait innovants.Parce que l'évaluation du risque est leur coeur de métier, les assureurs ont su résister aux sirènes de l'internet, dans un premier temps. Désormais bien intégré, le canal élctronique apporte une contribution non négligeable au développement de ce secteur : notoriété pour les uns, différenciation par le service pour les autres , compression des coûts et élargissement des parts de marché, quand il ne s'agit pas de modèles économiques tout à fait innovants. Bref, autant d'éléments qui prouvent la pertinence et la cohérence entre internet et assurance.Un assureur avisé doit toujours savoir rassuré ses assurés. Autrement dit, la condition du succés pour les acteurs de l'assurance, c'est avant tout une histoire de confiance. Or, sur internet , la confiance est tout sauf acquise, notament en raison des déboires liés au rodage du commerce électronique, dont le douloureux souvenir tarde encore à se dissiper. Les premiers à en faire les frais ont été les AGF. Un an dithyrambique lancement de son site OKAssurance(2000), la compagnie a été contrainte de battre en retraite, faute de résultats probants. Ains,"L'assurance qui vit avec son temps", base line dusite internet des AGF, n'aura pas eu le temps de convaincre son marché. Malgré la pertinence de son offre de couverture auto et habitation pour les particuliers, et malgré les importants budgets publicitaires(4.2 M?) consacrés au lancement de la marque, l'assureur n'a jamais réussi à transformer son audience en contrats"En ligne ou pas, ce métier ne peut s'adosser à une statégie publicitaire pour gagner la confiance. Seul le service aprés-vente, c'està dire le dédommagement de l'assuré, peut l'instaurer au fil du temps", indique Christian Giraud, directeur des systèmes d'information du marketing et du pôle internet chez Maaf Assurance. En prime de consolation, les AGF peuvent au moins se flatter d'avoir contribué à l'évangélisation de ce marché, aujourd'hui beaucoup plus réceptif à la démarche des assureurs en ligne.Qui ont, tous, plus ou moins tiré les leçons de la douloureuse expérience d'OKAssurance.STRATEGIE DES PETITS PASChez l'assureur Maaf, la génèse d'internet débute en 1996, avec un premier site considéré à l'époque comme simple vecteur de communication. Stratégie initiale de l'assureur : préserver la cohérence entre l'image de marque traditionnelle et son extension sur internet. "Ce canal ne doit pas créer la rupture, mais compléter et prolonger l'existant pour nous permettre de gagner en notoriété auprés d'une nouvelle cible de clientèle", explique Christian Giraud.Raison pour laquelle le groupe n'a jamais envisagé la création d'une marque spécifique à son offre en ligne. Conscient du fort potentiel du canal internet, la Maaf entend en poursuivre le développement, mais sans bousculer les habitudes des clients et sans révolutionner l'organisation de ces process métier. Car la force de Maaf, c'est avant tout son réseau et ses conseillers clientèle. "Nous n'avons jamais eu une culture de précurseur sur internet. Son développement est à privilégier et doit prendre sa place dans les processus de la relation client en osmose avec le réseau de Maaf", explique le directeur. En bon observateur, attentif aux évolutions du marché, Maaf structure progressivement so site en l'adaptant, pas à pas, aux attentes des utilisateurs. Aujourd'hui, maaf.fr, c'est de l'information, des outils pour réaliser des devis et, depuis fin octobre, la possibilité de consulter son dossier déclarer ses sinistres sur l'espace client dédié.Actuellement, l'assureur enregistre entre 75000 et 100000 visites mensuelles. Elles génèrent, en moyenne, entre 35000 et 45000 demandes de devis par mois.En 2001, 9000 contrats étaient souscrits directement en ligne par de nouvelles cibles de clientèle."En prospection, le média a fait ses preuves, assure Christian Giraud.Il s'agit désormais d'en accélérer le développement pour maximiser les retours."A commencer par l'accroissement de la visibilité du site. Pour remplir cet objectif, Maaf vient de signer un accord de partenariat avec MSN, qui véhiculera l'offre de l'assureur auprés de ses 3.7 millions de visiteurs mensuels.DOPAGE PAR INTERNETDix ans ont été nécessaire à Direct Assurance pour imposer son modèle de vente, directe par téléphone et récolter les premiers bénéfices de cette stratégie de longue haleine. Le greffon du canal internet aux systèmes informatiques de la société date de 1999, en France. Mais en Allemagne, pays laboratoire pour toutes les innovations du groupe, l'intéêt du net a été validé dès fin 1998.Depuis, le site de l'assureur ne cesse de s'améliorer et de s'enrichir de fonctionnalités innovantes en réponse aux attentes du marché. Les dossiers papier sont progréssivement remplacés par des courriers électroniques, les tarifications les plus complexes, telles que celles de l'assurance auto, se font désormais en ligne en temps réel et le nombre de contrats souscrits à partir du site double chaque anée. De 3000 souscriptions en 2000, le site est passé à 20000 contrats en 2002. De quoi valider l'apport du média au métier de l'assurance traditionnelle. D'autant que, de l'aveu même de Guy Stouls, P-dg de Direct Assurance, ce supplément de contrats correspond à une source de revenus additionnelle à celle issue du canal téléphonique."Internet est un formidable accélérateur de développement, un canal de distribution supplémentaire qui nous de toucher de nouvelles cibles de clientèles", se réjouit le Pdg. Une success story d'autant plus fulgurante qu'elle s'est inscrite dans une logique de vente directe facilement déclinable sur internet. Mais, si Guy Stouls est prêt à parier sur la montée en puissance de ce canal dans les années à venir, il reste néanmoins convaincu de sa nécessaire complémentarité avec les autres canaux: "La relation en ligne ne remplacera pas le conseil téléphonique et l'assurance ne se dématérialisera jamais complètement car, dans ce métier, le contact humain reste nécéssaire."L'AUDACIEUX PARI DU TOUT INTERNETPour Stéphane Favaretto, responsable marketing France d'Ineas, les utilisateurs réclament le contact humain dans la mesure ou on leur propose."Chez Ineas, c'est le site lui même qui amène l'internaute à se satisfaire de l'email" assure- t-il. Cet assureur européen lancé en 1998(4 pays)mise sur la dématérialisation totale
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04/12/2002
L'indice mensuel de l'évolution des prixde l'assurance automobile pour les particuliers, publié pour la première fois par le site internet ASSURLAND.COM s'est établi à 112.94 en novembre 2002, contre 106.48 en janvier 2002.L'indice mensuel de l'évolution des prixde l'assurance automobile pour les particuliers, publié pour la première fois par le site internet ASSURLAND.COM s'est établi à 112.94 en novembre 2002, contre 106.48 en janvier 2002.Cet indice de l'assurance des particuliers est calculé sur la base des deux millions de cotations (calcul de prime, plafond de garantie et franchise d'un contrat) demandées chaque mois par les visiteurs du site à une vingtaine d'assureurs.Cet outil de mesure des prix de l'assurance automobile était utilisé en interne par ASSURLAND.COM depuis juillet 200, date utilisée comme base 100.En janvier 2001, il s'établissait à 101.93.Le président du directoire et fondateur du site, Stanislas di Vittorio, souligne que les tarifs automobile ont"peu augmenté en 2000, trés légèrement en 2001"et que la progression a été plus rapide en 2002.L'assurance automobile a généré plus de 15 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2001 en France pour un parc automobile de 29 millions de véhicules.
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03/12/2002
Assurance auto: indice évolution prix à 112,94 en novembre (106,48 en janvier)Assurance auto: indice évolution prix à 112,94 en novembre (106,48 en janvier)PARIS, 3 déc (AFP) - L'indice mensuel de l'évolution des prix de l'assurance automobile pourles particuliers, publié pour la première fois par le site internet Assurland.com, s'est établi à 112,94 en novembre 2002, contre 106,48 en janvier 2002, annonce le site mardi dans un communiqué.L'indice des prix de l'assurance des particuliers (IPAP) est calculé sur la base des deux millions de cotations (calcul de prime, plafond de garantie et franchise d'un contrat) demandées chaque mois par les visiteurs du site à une vingtaine d'assureurs.Cet outil de mesure des prix de l'assurance automobile était utilisé en interne par Assurland.com depuis juillet 2000, date utilisée comme base 100. En janvier 2001, il s'établissait à 101,93.Interrogé lundi par l'AFP, le président du directoire et fondateur du site, Stanislas di Vittorio, a souligné que les tarifs automobile avaient "peu augmenté en 2000, très légèrement en 2001"et que la progression avait été "plus rapide en 2002".L'assurance automobile a généré plus de 15 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2001 en France pour un parc automobile de 29 millions de véhicules, rappelle le communiqué.elm/ahe/azAFP
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15/07/2002
LASTMINUTE lance une nouvelle version de son extranet destiné aux hôteliers"le voyagiste en ligne".LASTMINUTE lance une nouvelle version de son extranet destiné aux hôteliers"le voyagiste en ligne".Le Britannique souhaite en effet optimiser son service auprés des clients finaux et offrir aux hôteliers un accés plus simple et plus efficace à ses prestations. Ces derniers obtiendront par ce canal une visualisation immédiate des disponibilités d'hébergement, ce qui réduira les coûts liés aux réservations. L'extranet est d'ores et déjà disponible sur 9 pays. La société estime que 70% de ses partenaires utilisertont cet outil d'ici la fin de l'année.D'ici la fin 2003, l'offre devrait s'étendre à l'ensemble des affiliés. Ce système permettra en outre d'accroître le nombre de réservations hôtelières au sein du groupe. A noter que LASTMINUTE a récemment pris une participation au sein du capital de LCC24, une agence de voyage online créee par LUFTANSA CITY CENTRE, et vient de racheter son compatriote DESTINATION HOLDINGS GROUP LIMITED LIMITED.ASSURLAND.COM place son moteur de recherche de comparaison de prix chez CLUB-INTERNET. Grâce à un partenariat signé avec ASSURLAND.COM, CLUB-INTERNET.FR propose désormais à ses internautes un service de comparaison de produits d'assurances. Intégré aux chaînes Immobilier et Véhicule du portail du FAI, le moteur d'ASSURLAND permet de rapprocher les prestations de plus de 20 professionnels.ASSURLAND compare ainsi en temps réel les offres (prix, garanties, franchises, engagements de services, etc...)pour des produits comme l'automobile, l'habitation, la santé ou encore la moto.Avec CLUB-INTERNET, ASSURLAND bénéficiera d'une source importante de trafic. La filiale de T-Online compte aujourd'hui 895000 abonnés en France. Sur le mois d'avril dernier, son portail a enregistré 128 millions de pages vues selon cybermétrie. Grâce à son offre aux particuliers, ASSURLAND a enregistré sur 2001 la souscription de 10742 polices. Pour élargir ses prestations, la société a par ailleurs décidé de lancer sur le marché b-to-b en juin dernier. Aprés avoir atteint l'équilibre financier en 2001, avec un CA de 1.08 ME, ASSURLAND vise une croissance de 100% sur 2002.
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20/02/2002
Assurland est un comparateur des tarifs de quinze assureurs dans le domaine de l'automobile mais également la moto, l'habitation et la santé.Assurland est un comparateur des tarifs de quinze assureurs dans le domaine de l'automobile mais également la moto, l'habitation et la santé. Pour ce faire, l'internaute remplit un questionnaire en ligne qui ressemble à celui que vous demande un assureur qui a pignon sur rue : information sur le (ou les) conducteur(s) du véhicule (avec notamment la date d'obtention du permis, retrait ou suspension éventuelle, bonus ou malus avec le coefficient, nombre d'incidents ou de sinistres déclarés...), son usage (privé, trajet travail...), le type de voiture (modèle, date de 1ere mise en circulation, nombre de kilomètres parcourus par an, garage), et le type d'assurance désiré (responsabilité civile, +bris de glace, +vol et incendie ou tous risques). Assurland vous permet de sauvegarder une fois pour toute votre profil dans un compte personnel. Pour obtenir les tarifs, vous devez obligatoirement laisser vos coordonnées. Assurland vous fournit instantanément les trois meilleures offres trouvées et détaille les prestations (franchises et garanties inclues). Une aide est disponible pour bien comprendre ce que recouvre chaque notion. Le site vous permet de recevoir si vous le souhaitez, le devis par courrier et de souscrire un contrat d'assurance par téléphone (et parfois même en ligne). Assurland vous offre la possibilité de recevoir une mail de relance avant que votre assurance n'arrive à échéance, et vous propose une lettre-type de résiliation de votre contrat. Le site répond, en outre, aux questions clés que se pose tout conducteur : par exemple, "Suis-je assuré si je prête mon véhicule ?", "Comment bien remplir un constat ?", "Que faire en cas de vol de véhicule ?". Vous trouverez également un glossaire pour comprendre tous les termes utilisés par les assureurs.
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29/12/2000
Ils sont jeunes et dynamiques. Ils bouillonnent d'idées et vivent à cent à l'heure. Ce sont les infomédiaires. Ces nouveaux acteurs de l'assurance se sont engouffrés dans la brèche ouverte par la nouvelle économie pour apporter de nouveaux services aux assurés et leur donner enfin la possibilité de comparer, en quelques clics, les prix et les garanties des contrats d'assurances. Ils sont jeunes et dynamiques. Ils bouillonnent d'idées et vivent à cent à l'heure. Ce sont les infomédiaires. Ces nouveaux acteurs de l'assurance se sont engouffrés dans la brèche ouverte par la nouvelle économie pour apporter de nouveaux services aux assurés et leur donner enfin la possibilité de comparer, en quelques clics, les prix et les garanties des contrats d'assurances. Grâce à cette nouvelle race d'acteurs, l'automobiliste qui vient d'acquérir un véhicule et qui cherchent à l'assurer au meilleur rapport qualité-prix n'est plus obligé de joindre par téléphone ou de surfer sur les sites d'une dizaine d'assureurs et de se faire livrer dix fois de suite à un jeu de questions-réponses pour espérer obtenir un devis.Grâce à Internet et aux formidables progrès de la technologie, il répond une seule fois à une petite série de questions avant de voir apparaître, en quelques secondes, les offres les plus compétitives que les assureurs partenaires des sites peuvent lui proposer. C'est simple, rapide et sans engagement, et ce principe répond aux besoins exprimés par les internautes : glaner des informations et les comparer en temps réel.En moins d'un an, pas moins de cinq infomédiaires se sont ainsi lancés sur le marché. FirstAssur, crée par un courtier d'assurances, a donné le coup d'envoi de cette nouvelle forme de distribution suivi par Assurland puis, par Fia-Net, par Assurway et, tout récemement, par Assunet. Pour l'heure, ces acteurs proposent presque essentiellement des contrats d'assurances dommages, et leur offre est plus ou moins variée selon les cas. Tous fonctionnent à première vue selon un principe identique, qui consiste à faire apparaître les propositions les plus compétitives, en termes de prix, à l'internaute en quête d'une assurance. Toutefois, en y regardant de plus près, chacun aborde le prospect différemment.PERMETTRE A L'INTERNAUTE DE POUVOIR COMPARERChez Assurland, les dirigeants ont voulu donner au consommateur la possibilité d'acheter sa police d'assurances "en toute connaissance de cause" avec, pour leitmotiv, de pouvoir "comparer vraiment" et, surtout, d'"économiser". Conséquence, après avoir répondu à une dizaine de questions en MRH et à une cinquantaine en assurance automobile, l'internaute voit apparaître sous forme de tableau les trois meilleures offres, de prix par ordre croissant, accompagnées d'un zoom sur chaque contrat, décortiqué garantie par garantie.Un principe identitique a été adopté chez Fia-Net.En revanche, chez FirstAssur, la démarche est quelque peu différente. D'abord, l'ambition du courtier est d'afficher les propositions des quatre assureurs qu'il estime les plus appropriées au besoin de l'internaute. Ensuite, ces quatre candidats apparaissent dans un ordre aléatoire pour ne pas priviligier une compagnie d'assurances par rapport à une autre. Thierry Perouse, directeur général de FirstAssur, explique cette décision par son "souci de rester neutre" et de "laisser l'internaute faire son marché". Là encore, le site détaille les garanties proposées mais, en plus, il met en exergue les points forts de chaque contrat, et donne la possibilité de télécharger les conditions générales avant même tout engagement. Chez Assurway, la démarche repose sur un autre postulat : "Il n'y a pas de meilleure offre par rapport à un profil donné", explique en substance Pierre Ganter, président d'Assureworld, avant d'ajouter que "tout dépend de la sensibilité de l'internaute au risque, ainsi qu'à la marque et au prix". Partant de cette maxime, il se refuse à comparer sur ce facteur prix et cherche d'abord à bien identifier les besoins du prospect pour mieux déterminer ensuite les contrats correspondant à son profil. Le devis est ensuite adressé à l'internaute sous 48 heures par mail ou par courrier... Une façon de procéder bien longue et inadaptée au besoin de l'internaute, habitué à avoir tout et out de suite. Pierre Ganter en est bien évidemment conscient. Sa priorité est de réduire sensiblement le délai de réponse.Assunet enfin, revendique une approche client et des relations originales avec ses partenaires : pas question de faire apparaître dans son offre l'assureur du prospect ni même le nom de la compagnie. Ce n'est qu'au moment du paiement de la prime que l'internaute les découvre. Comme chez FirstAssur, le souci de ne pas privilégier une compagnie par rapport à une autre est très prégnant. Le mode de souscription des contrats est par ailleurs bien spécifique d'un infomédiaire à l'autre. Si Philippe Guilbert, directeur général d'Assunet, estime que la souscription du contrat et le paiement de la prime doivent être réalisés sur Internet, il n'est pas suivi dans les faits par ses concurrents. FirstAssur, qui adoptait jusqu'à présent un crédo identique, laissera, dans la prochaine version de son site prévue pour le 15 janvier, la possibilité de payer par téléphone, via son call center.De son côté, Assurland a opté pour une politique bien différente en laissant le soin à l'assureur de régler ce problème avec son nouvel assuré. L'infomédiaire offre ainsi tout un éventail de possiblités-en ligne, par téléphone, en agence ou par courrier-pour que le mode de paiement de la prime ne constitue pas un frein à la souscription.MAITRISER LES NOUVELLES TECHNOLOGIESFaciliter la souscription est pour tous ces nouveaux acteurs le nerf de la guerre. Tous proposent aujourd'hui un soutien à l'internaute avec un guide de leur site particulièrement soigné. Pour les assister et répondre à leur besoin de réassurance, chacun communique des coordonnées téléphoniques.Assunet dispose ainsi d'une véritable plateforme téléphonique avec plus d'une dizaine de téléopérateurs qu'il a formés à l'assurance et qui sont prêts à répondre à toute demande.FirstAssur dispose aussi d'un "callcenter" et, sur son site, il suffit de cliquer sur une petite fenêtre pour obtenir une réponse "off line".Chacun de ces infomédiaires ne s'est pas contenté d'écouter le chant des sirènes et de succomber à l'effet mode "start-up" pour se lancer dans l'aventure Internet. Tous ont pris le temps de la réflexion et ont dégagé une stratégie d'arrache-pied pour intégrer de nouveaux partenaires assureurs, pour décortiquer l'ensemble des contrats et les intégrer dans leur propre "scoring". Parceque le Net exiqe d'être réactif et d'évoluer sans cesse, ils multiplient les nouvelles versions et enrichissent le contenu de leurs sites de conseils en tout genre. Car, estiment-ils, on ne s'improvise pas infomédiaire. Il faut d'abord avoir une bonne culture assurance, disposer ensuite de moyens financiers importants - tous multiplient les levées de fonds sans trop de difficultés, semble-t-il -, mais il faut aussi maîtriser parfaitement les nouvelles technologies pour apporter au client un service digne de ce nom. Pour être en mesure d'afficher en quelques secondes les tarifs et garanties des meilleures compagnies d'assurances, il est indispensable de disposer d'un moteur de tarification ou, mieux encore, de nouer des liens technologiques avec elles. A ce titre d'exemple, Assurland apparaît aujourd'hui comme le modèle le plus intégré et le plus lié aux assureurs. L'infomédiaire a en effet mis en place une formidable machine technologique - une véritable "boîte de tuyaux", comme aime le dire Stéphane Guinet, président d'Assurland - qui lui permet d'être connecté en amont sur les systèmes de tarification des assureurs et en aval, sur leurs systèmes de gestion. "Pour obtenir une cotation et un descriptif produit en trente secondes, ajout-t-il, c'est 4 000 jours de développement informatique qui sont nécessaires." Ce lien direct avec l'assureur complexe, on l'imagine, à mettre en oeuvre est bien évidemment essentiel pour Assurland. Il lui permet de suivre à la trace l'ensemble de ses clients et surtout d'adresser en temps réel à l'assureur le profil du futur assuré.Si ce dernier appelle la compagnie d'assurance après avoir accepté la souscription sur le site d'Assurland, celle-ci non seulement le reconnaît immédiatement mais surtout elle dispose déjà de toutes les caractéristiques relatives au risque à assurer. Fini les tâches répétitives et la perte et la perte de temps. Assurland entend d'ailleurs encore multiplier ses investissements technologiques. L'infomédiaire développe actuellement une nouvelle interface qui lui permettra de vérifier que l'internaute a bien reçu sa proposition d'assurance ou qu'il a bien appelé l'assureur grâce à un communateur téléphonique. Mieux, il sera en mesure très vite de disposer d'une offre de proximité en proposant à l'internaute de prendre un rendez-vous avec l'agence la plus proche de son domicile, grâce à un accès direct à l'agenda de l'agent. Pour autant, cette stratégie vertueuse n'est pas dénuée d'inconvénients. D'abord, parce que tous les assureurs ne souhaitent pas offrir un accès direct à leurs bases de données. Ensuite, parce que tous ne disposent pas encore des moyens technologiques suffisants leur permettant un lien direct avec un infomédiaire.Assurway, tenant compte de ces deux handicaps, a donc choisi d'apporter une solution, qu'il soit ou non connecté à l'assureur. Une stratégie qui devrait lui permettre d'étendre le nombre des sociétés partenaires et de convaincre les grands noms de l'assurance mais qui a pour corallaire de proposer un service plus long puisque le prospect reçoit un devis par courrier ou par e-mail dans les...quarante-huit heures.UN MARCHE PAS ENCORE ASSEZ MURA la lumière de ce qui précède, y at-t-il une recette miracle qui garantisse le succès à ces infomédiaires ? Difficile de répondre à cette question dans l'immédiat, d'autant que ces nouveaux acteurs sont plutôt jaloux de leurs chiffres. A l'exception d'Assurland qui revendique quelque 262 000 visiteurs en novembre, 45 174 cotations et 8 773 mises en relation aves les assureurs, impossible d'obtenir des données quant au nombre de devis effectués sur les sites, ou au nombre d'internautes ayant souscrit un contrat par ce canal.Ce que l'on peut regretter puisque ces infomédiaires sont le plus souvent rémunérés sur le taux de concrétisation. A l'exception d'Assurway qui, étant donné son approche singulière visant à envoyer à l'assureur des prospects qualifiés, perçoit une rémunération au prospect et au contrat.Ou encore d'Assurland qui, dans certains cas, est payé à la cotation...
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